Faire son bilan des 6 mois

Il est venu le temps du bilan :

  • 6 mois de RV hebdomadaires avec vous.
  • De nombreuses heures de formation en autodidacte avec You Tube et Google…et quand même un peu l’aide de mon fils qui, à chaque fois qu’il m’entendait râler, passait la tête à travers la porte et me disait : « Besoin d’aide, mamounette ? »
  • 30 podcasts alors qu’il y a 7 mois, je n’avais absolument aucune idée de comment faire.
  • Des centaines d’heures d’écriture de scripts avec ma playlist sur les oreilles.
  • 28 articles sur le site neophim.com en lien avec les podcasts
  • Des centaines d’heures d’enregistrement et de montage avec des fou-rires toute seule dans ma chambre transformée en studio d’enregistrement, sur mon bureau à roulettes qui se coulisse au-dessus du lit.
  • Des milliers de jurons aussi quand la technologie ou internet décidait de me compliquer la tâche et quand Mercure rétrograde venait y mettre son petit grain de sel (Mercure est la planète de la communication, entre autres, et quand elle rétrograde, il vaut mieux rester zen car elle aime bien mettre la pagaille dans tous les moyens de communication et technologiques).
  • Et aussi et surtout de très nombreux messages de remerciements et de gratitude de votre part qui sont TOUJOURS arrivés au moment où j’étais un peu en peine. Et d’ailleurs, j’en profite pour vous exprimer, à mon tour, ma plus grande gratitude pour me soutenir dans cette aventure incroyable. UN IMMENSE MERCI Á TOUS.

Bon, là, je ne vous parle que du podcast mais pendant les 6 mois écoulés qui viennent de s’écouler, il y a eu aussi tout le reste : la naissance de mon petit-fils, la COVID19, le confinement avec mes 2 plus jeunes enfants, mon exil loin de ma chère Tunisie et de mon compagnon, le début de ma formation en astrologie et de mon autre formation en soins énergétiques Rosa Magdala et tellement, tellement d’autres choses.

Et avant de commencer à vous parler de bilan plus en profondeur et de vous dire pourquoi j’en fais, quand et comment, je tenais à remercier tous mes guides qui bossent H24, qui ne lâche rien même quand je m’entête à reproduire certains schémas (et croyez-moi, j’ai la tête dure) et qui m’ont toujours entourée d’une immense bienveillance réconfortante dont j’ai usé et abusé pendant cette période si rock’n’roll !!!

1/ Pourquoi je fais régulièrement des bilans ?

Parce que c’est le meilleur moyen pour :

  •  Prendre conscience de la richesse de notre vie, de tout ce que l’on a accompli
  • De nos compétences
  • Voir s’il y a un juste équilibre entre le domaine personnel et professionnel
  • Planifier nos actions futures
  • Visualiser plus facilement les points sur lesquels on doit travailler ou retravailler

2/ A quel moment je fais mon bilan ?

Pour la fréquence, c’est variable et selon les besoins.

J’en ai fait 2 en fin d’année dernière : un de l’année assez détaillé et un de la décennie écoulée.

Il est souvent préconisé d’en faire un tous les 3 mois car c’est le temps moyen estimé pour atteindre un objectif que l’on s’est fixé.

J’avoue que je ne suis pas aussi régulière et que j’ai déjà une organisation hebdomadaire qui me permet de bien suivre l’évolution de mes objectifs à court et moyen terme.

C’est pour cela que je ne le fais que sur un plus long terme, très souvent en fin d’année mais nos années devenant de plus en plus denses et riches, j’avoue que le faire au bout de 6 mois, ça donne déjà un bilan très riche.

Il m’arrive parfois de faire un bilan par rapport à un seul et unique projet si celui compte beaucoup pour moi. Ça me révèle des facettes de moi-même et me permet de les conscientiser par la phase écrite introspective.

Un bilan a de vraies vertus thérapeutiques. Ce n’est pas seulement un simple « état des lieux » et une planification pour la suite. Il y a la phase intermédiaire (phase d’analyse) qui amène beaucoup de réflexions et remises en question personnelles.

3/ Comment je fais mon bilan ?

Déjà, je les mets tous au même endroit.

J’ai un carnet dédié à tout ce que je vis et expérimente au niveau personnel. J’y mets mes guidances (celles que je me fais moi-même et celles que l’on me fait), mes expériences personnelles en soins énergétiques, mes bilans et tout ce qui est important pour moi.

J’adore ouvrir ce carnet et retrouver la trace de mon parcours. C’est bien souvent comme cela que je prends REÉLLEMENT conscience de ce que j’ai accompli (#fierté) et aussi de ce qui résiste.

Pour mon bilan annuel, j’aime bien faire une simple liste, mois par mois car ça me permet de ne rien (ou presque) oublier. Mais je n’ai pas plus de règles que ça.

C’est quelque chose que l’on s’amuse aussi à faire en famille surtout lorsqu’il y a des projets communs. Ça permet de se rappeler de plus de choses et ça amuse tout le monde…une idée pour les longs repas de fin d’année !!!

Pour le bilan que je viens de faire, il est sur une durée de 6 mois.

Il correspond à une période dont on se souviendra tous : janvier à juin 2020…la fameuse année incroyable que l’on a tous senti arriver mais dont on ne mesurait peut-être pas l’intensité et la densité.

J’ai fait un tableau en séparant vie professionnelle et vie personelle.

Pour chaque catégorie, j’ai fait une colonne « points positifs », une colonne « points négatifs » et une 3ème colonne « Et après ? »

Je pars de la colonne « points négatifs » et j’évalue les actions à mettre en place pour les 6 mois suivants que je place dans la colonne « Et après ? ».

Je peux, bien sûr, y ajouter de nouvelles actions.

Je planifie ensuite toutes ces actions dans mon agenda annuel en répartissant dans les périodes concernées et j’affine mon organisation à la semaine, plus tard, si je veux.

Tout est possible, bien sûr et là, je vous présente ma dernière « proposition » testée mais j’en imagine régulièrement de nouvelles.

L’important est le temps que l’on prend pour faire notre bilan et ce que cela nous apprend de nous.

Je vous encourage vraiment à tester ce bilan sur 6 mois, surtout vu la période que l’on vient de vivre.

Je suis sûre que vous serez surpris(e) de ce que vous allez découvrir à travers ce bilan !

Très bel été à tous !!!

Ça sert à quoi un coaching ?

Je vous propose, à travers cet article, de vous éclairer sur ce qu’un coaching peut vous apporter et comment choisir son coach, son thérapeute ou son accompagnant spirituel.

Parce que :

  • J’ai fait de nombreux coaching ou accompagnements et cela m’a apporté beaucoup de positif mais aussi parce que, parfois, je ne suis pas toujours tombée sur les bonnes personnes -> et je veux vous partager ça aussi.
  • Je suis infirmière et j’ai exercé pendant 15 ans avant de devenir sophrologue et thérapeute holistique. Cette expérience professionnelle m’a appris l’importance d’avoir une éthique professionnelle claire et rigoureuse. C’est, pour moi, la marque d’un profond respect vis-à-vis de mes clients/patients.
  • J’ai également été « malade » pendant de nombreuses années et j’ai encore des soucis aujourd’hui mais si je vous parle aujourd’hui et que j’ai créé mon entreprise après 13 ans d’invalidité, c’est parce que j’ai fait le choix de me faire accompagner dans les moments-clés de mon existence (maladie, deuil, grosses remises en question, projet pro…)

1/ Á quel moment faire appel à un coach ?

Lorsque vous vous sentez épuisé(e) et que vous n’arrivez plus à reprendre votre souffle.

En gros, quand vous êtes la tête dans le guidon dans une descente et sans frein ou alors au contraire, vous attaquez un col mais vous avez l’impression que vous n’allez jamais en voir le bout et vous êtes prêt(e) à tout arrêter.

Lorsque vous sentez que vous agissez mais que ça bloque et que cela vient de vous.

C’est certainement que vous n’avez plus les ressources pour passer le ou les obstacles qui se présentent à vous.

2/ Qu’est-ce que ça doit être et ne pas être un coaching, un accompagnement ?

Un coaching, un accompagnement, c’est :

  • Un temps d’écoute pour moi (ne pas confondre avec un psy)
  • Un bilan de la situation actuelle
  • Un bilan de mes ressources
  • Des propositions de soins ou des techniques pour me réaligner avec moi-même et donc avec mon projet
  • Un engagement vis-à-vis de moi-même : c’est moi qui choisit de le faire et c’est pour moi que je le fais
  • Objectif autonomie
  • Challengeant

Un coaching, un accompagnement, ce n’est pas :

  • Des techniques et solutions que le coach m’impose
  • Un non-engagement de ma part : je dois accepter de travailler sur certains points quand je me sens prêt(e)
  • Objectif « dépendance »
  • Éprouvant

3/ Qu’est-ce que ça va m’apporter ?

La 1ère chose qu’un coaching va vous apporter, c’est un VRAI BILAN : un bilan de qui vous êtes aujourd’hui et de votre projet si vous en avez déjà un en cours ou à venir.

Ensuite, il va vous permettre, à partir de ce bilan :

  • De prendre conscience des points qui vous bloquent et sur lesquels vous devez travailler. Il faut, bien sûr, que vous soyez OK pour ça. En même temps, c’est beaucoup plus facile accompagné(e) que seul(e) (parler du fait que depuis la démocratisation de la spiritualité et l’abondance d’informations sur internet, de livres, les gens tentent de régler seuls des questionnements personnels -> bien et pas bien)
  • De voir si votre projet est toujours réalisable dans les conditions de départ ou s’il faut réajuster certains éléments du projet.
  • Il peut aussi vous faire prendre conscience que le projet n’est plus aligné avec la personne que vous êtes aujourd’hui et c’est important d’en prendre conscience et éventuellement de comprendre pourquoi. (il n’est jamais trop tard – exemple Claire)
  • Il doit également vous révéler toutes vos ressources : celles que vous connaissez mais que vous avez oubliées et celles que vous ne connaissiez pas et sur lesquelles vous allez pouvoir vous appuyer pour la suite.

Pensez à noter, avant ou après chaque séance, où vous en êtes. Certains coachs, thérapeutes et accompagnants spirituels vous donnent les enregistrements des séances. Cela vous permet de voir votre évolution et ça a aussi un coté thérapeutique.

4/ Bien choisir son coach, son thérapeute

Un diplôme, une certification n’est absolument pas une garantie de résultats pour vous et d’éthique professionnelle du coach ou du thérapeute.

C’EST LE MOMENT OÙ JAMAIS DE VOUS METTRE Á L’ÉCOUTE DE VOTRE INTUITION.

Lorsque vous partez en quête du coach idéal pour vous, regardez :

– Les avis s’il y en a.

– Des vidéos, stories

– Ses contenus

– Ce qu’il propose (si c’est clairement exprimé, les tarifs…)

– Sa charte éthique s’il en a une. Sinon, n’hésitez pas à lui poser des questions (vous pouvez aller voir ma charte éthique pour vous donner un ordre d’idée de ce que vous pouvez demander). Cette démarche vous assurera de ce que le coach s’engage à faire et à ne pas faire.

– ses différentes méthodes

Les qualités du coach/thérapeute :

  • Ecoute +++ (secret professionnel)
  • Empathie
  • Respect de votre propre rythme. S’il sent que vous n’êtes pas prêt(e), il doit vous en parler et voir avec vous si vous continuez ou si vous reportez (ex : si un évènement intervient en plein projet : soit vous travaillez sur cet évènement « imprévu » et ce qu’il génère dans votre évolution, soit vous faites une pause et reportez la coaching

-> report de ma formation et de mon coaching au moment du traitement pour le cancer)

  • Doit vous rendre autonome mais aussi vous tenir la main jusqu’au moment où vous le deviendrez et vous proposer les outils et techniques nécessaires pour y parvenir (ex : formation où trop d’autonomie dès le début)

La connexion avec le professionnel doit se faire tout de suite. (Conseil psy Tom)

Si vous avez un doute, vous pouvez faire une 2ème séance mais si le doute persiste alors arrêtez tout de suite. Soit le coach/thérapeute ne vous correspond pas, soit vous n’êtes pas prêt(e). Dans les 2 cas, cela ne sert à rien de persister même si votre entourage vous met la pression.

Si vous faites un autre travail avec un autre thérapeute (entre autres, un énergéticien), le signaler. Il doit veiller à ne pas « court-circuiter » ce travail. Certains coaching ou thérapies sont complémentaires et leur association ne vous en sera que bénéfique. D’autres peuvent générer trop de bouleversements internes (énergétiques, psychologiques…) et leurs effets cumulés vont créer un épuisement et/ou de la confusion.

Le coach/thérapeute doit vous expliquer sa ou ses méthodes et comment il va procéder avant de commencer (sauf si vous ne le souhaitez pas) et vous validez ou non.

Si ce qu’il vous dit ne résonne pas en vous (tout au long de l’accompagnement), dites-le. Parlez-en avec lui ou elle.

Il faut distinguer ce qui n’est pas juste pour vous et ce que vous ne voulez pas entendre.

5/ Conclusion

Un coaching ou accompagnement est vraiment un cadeau que vous vous faites, un investissement sur vous-même.

C’est pour cela qu’il est vraiment important de bien choisir la personne qui vous accompagnera pendant toute cette période et qui vous guidera, sans vous influencer ou choisir pour vous, sur votre chemin de vie. C’est la main tendue que l’on saisit l’espace d’un moment tout en sachant qu’on devra la lâcher un jour.

A chaque fois que vous sentez que vous peinez, posez-vous et demandez-vous si vous allez pouvoir franchir cette nouvelle étape seul(e) ou si vous avez besoin d’un soutien constructif qui vous permettra de mieux rebondir pour la suite.

Mes 4 piliers : sophrologie, astrologie, méditation, oracles

Aujourd’hui, je vais vous parler de mes 4 piliers : ceux qui me permettent de rester stable quand les tempêtes se succèdent et qui m’apportent un équilibre de vie qui m’a permis d’évoluer sur MON chemin avec confiance.

Vous avez, déjà, vous-même, peut-être, vos propres piliers et c’est super !

Ou bien, vous avez testé pas mal de choses mais vous aimez changer au gré de vos découvertes. C’est chouette aussi !

Ou alors, vous n’avez pas encore trouvé ce qui vous fait vibrer et vous apporte soutien, force et réconfort. Pas de panique, prenez le temps d’explorer ce que la vie vous propose avant de vous fixer sur vos « piliers » à vous !

Dans tous les cas, je vais vous partager ce que les miens m’apportent à travers ce qu’ils sont mais aussi à travers ce que j’en ai fait en me les appropriant. Et je vous dirais, ensuite, pourquoi, à mon sens, ils sont essentiels à notre équilibre.

A/ La sophrologie

Des 4 « disciplines » dont je vais vous parler, c’est la première qui est entrée dans ma vie. C’était, il y a 30 ans, lors de ma première grossesse.

Nous avons eu des moments de révélations mais aussi des moments de « bouderies ».

Elle m’a énormément apporté mais elle m’a aussi bousculée, fait sortir de ma zone de confort, amenée à faire face à de profondes remises en question.

Parfois, je lui ai tourné le dos parce qu’elle m’agaçait avec sa rigueur, son exigence mais je suis toujours revenue vers elle car je savais qu’elle me soutiendrait comme j’en avais besoin.

Et puis, peu à peu, j’ai réussi à dépasser ce côté structuré qui me gênait en m’appropriant ce qu’elle me proposait. Je l’ai adapté à mes propres besoins tout en respectant le cadre.

La sophro (c’est son petit nom) a été créée par Alfonso CAYCEDO, neuropsychiatre colombien, dans les années 60.

Et son nom vient de 3 racines grecques : sôs (sérénité, équilibre, harmonie), phrên (esprit, conscience) et logos (science, étude, discours).

On peut donc dire que c’est une science de l’harmonie de la conscience.

Elle est fondée à partir de différentes pratiques telles que la méditation (vivre l’instant présent), la visualisation positive, des techniques de relaxation, de yoga (postures spécifiques).

Elle va aussi emprunter à la philosophie, le concept de phénoménologie qui consiste à privilégier l’expérience des ressentis sans l’intellectualiser, en y apportant un regard neuf, dépourvu de tout jugement, tout apriori.

C’est donc un condensé de disciplines occidentales et orientales et c’est ça qui la rend vraiment intéressante parce que cela apporte une grande diversité dans ses propositions.

De plus, il y a des exercices doux et d’autres plus dynamiques. Certains peuvent être très facilement incorporés dans la vie de tous les jours et c’est aussi une des raisons pour lesquelles j’aime beaucoup la sophro. (ex : embouteillages – AR à Caen)

Par contre, à mon sens, elle demande une initiation avec un professionnel afin de bien intégrer le cadre qui vous permettra ensuite de prendre certaines libertés en respectant ce cadre.

Elle peut être proposée en séances individuelles ou en séances de groupe.

Ce qu’elle m’apporte :

  • Gestion du stress
  • Gestion de la douleur
  • Gestion de mon énergie
  • Me reconnecter à mon corps
  • Une autre approche de la vie : phénoménologie -> « mon corps tel que je le ressens et non tel que je le vois »…  « l’autre tel que je le ressens et non tel que je le vois »… « la vie telle que je la ressens et non telle que je la vois »

B/ L’astrologie

Depuis toute petite, j’ai le nez en l’air et la tête dans les étoiles. J’ai toujours été fascinée par le cosmos mais je n’ai jamais été au-delà de l’émerveillement.

Puis, il y a 3 ans, j’ai compris que mes énergies étaient très liées à celles de la lune. Au début, j’observais ça avec curiosité et amusement. Mais, très vite, j’ai senti que je pourrais en faire une alliée.

J’ai donc approfondi mes connaissances et j’ai dévoré toutes les informations que je trouvais sur la lune. Et c’est comme si je prenais, ENFIN, le temps de m’intéresser à une vieille amie.

Puis, en me familiarisant avec elle, j’ai découvert aussi tout le reste : les planètes, les interactions entre elles mais surtout ce qu’elles nous apportaient au quotidien.

J’ai découvert un thème astral avec toutes ces annotations mystérieuses et ma curiosité a été plus forte.

Je me forme, donc, depuis quelques mois à l’astrologie. Je l’intègre déjà dans mes accompagnements avec Néophim mais j’avais envie d’offrir à mes clients des lectures complètes de thème astral car c’est pour moi un incroyable outil de développement personnel.

Ce qu’elle m’apporte :

  • Une connaissance de moi-même très approfondie. C’est extrêmement juste, pertinent et aidant.
  • Des indications sur les points que je dois encore travailler.
  • Les soutiens que je peux avoir dans le ciel.
  • De connaitre les énergies du moment pour pouvoir surfer dessus plutôt que de prendre la vague en pleine face.
  • Le fait que c’est une discipline qui repose sur des bases solides et concrètes et que cela existe depuis des centaines d’années. Il y a, à la fois, un côté cartésien mais tout en laissant place à l’intuition et c’est, pour moi, le combo parfait.
  • C’est un domaine qui s’étire à l’infini et je pense que l’on en a jamais fini d’apprendre et ça, j’adore aussi.
  • Permet de sortir de sentiments inconfortables tels que la comparaison, la jalousie, la peur, le doute en prenant conscience de ce que nous avons en nous, de nos ressources, de notre richesse intérieure -> renaissance -> guérison

C/ La méditation

Curieusement, la méditation est entrée dans ma vie, après la sophro, alors que c’est souvent l’inverse.

La méditation n’est pas faire le vide et ne plus penser.

La méditation, c’est regarder nos pensées passer, sans émotions particulières, comme si on regardait des nuages passer. C’est, comme la sophrologie, voir la vie telle qu’elle est, sans le filtre de nos jugements, de nos aprioris. C’est avoir le recul suffisant pour accepter avec le plus de sérénité possible les différents évènements de la vie.

Pour moi, ce n’est pas une pratique mentale, un moyen supplémentaire pour devenir plus performant.

C’est un moyen très efficace pour revenir à soi, de reprendre conscience de ce corps tel que je le ressens. Un point commun avec la sophrologie.

Son autre point commun avec la sophrologie réside dans le fait qu’elle nous permet de simplifier la vision que l’on a de la vie, de l’aborder telle qu’elle est et non telle qu’on la voit.

Je ne l’ai jamais considérée comme un outil mais plutôt comme une partie de moi qui était endormie et que je devais réhabiliter. De cette façon, c’est aujourd’hui, une part de moi qui s’active de manière totalement instinctive. Mon corps, mon âme, mon esprit, se mettent automatiquement en mode méditatif quand c’est nécessaire pour moi.

Le mieux est de commencer par des choses très simples, pas trop longues et faciles à mettre en application :

  • Ouvrez votre fenêtre, fermez les yeux et respirer tranquillement.
  • Fermez les yeux. Inspirez, expirez à votre rythme, tranquillement. Connectez-vous à vos ressentis sans les analyser. Juste les ressentir. SI des pensées parasites (agréables ou désagréables) surviennent, restez calme. Ne pas se juger. Tentez de les regarder passer comme si vous regardiez des nuages passer.
  • En cuisinant, concentrez-vous sur vos gestes sans les analyser.
  • En mangeant, en prenant votre douche…

Ensuite, trouvez-vous un moment dans la journée, votre moment à vous et augmentez peu à peu ce temps.

Il existe des séances guidées qui sont très bien : Christophe André – Application 7mind.

Vous avez aussi une méditation guidée que j’ai créée avec Néophim et que vous trouverez dans la rubrique podcast du site Néophim ou sur la plate-forme sur laquelle vous écoutez ce podcast. Elle s’appelle « méditation pour la terre ».

Ce qu’elle m’apporte :

  • Renforce mes fondations
  • Apaise mon mental
  • Réconfort physique
  • Prise de conscience de nos ressources intérieures (ex : RV Beaujon, trajet train)

D/ Les oracles

J’ai découvert les oracles, il y 4 ans.

Je me souviens de mon premier : « L’oracle des rebelles sacrées ».

Un monde nouveau, c’est ouvert à moi et surtout, c’est vraiment ce qui m’a permis de me reconnecter à ma spiritualité, en douceur, progressivement, et avec beaucoup de richesse.

Je vous parle oracles mais j’utilise aussi des tarots.

Je fais des tirages à la nouvelle lune, à la pleine lune, à des moments où j’ai besoin de prendre des décisions, d’être guidée.

Pour moi, c’est un moyen d’entrer en contact avec mes guides. Ils vont utiliser les cartes pour me transmettre leurs messages.

Il ne faut pas penser qu’il faut être hyper expérimenté(e) pour les utiliser.

Bien sûr, il y en a qui demande à être apprivoisé, qui demande d’être très connecté à notre intuition mais d’autres sont beaucoup plus simples d’accès.

Il y a pratiquement toujours un livret d’interprétation qui est vendu avec pour ceux qui sont plus complexes.

Pour le tarot, il faut effectivement avoir un support pour interpréter les messages des cartes mais il existe des livres très bien faits pour cela comme « le grand livre du tarot« 

Concrètement, vous avez différents types de cartes :

  • avec messages sur les cartes
  • Avec livret d’interprétation
  • Avec des images très riches qui permettent une première interprétation et qui contient aussi un livret d’interprétation 

Il y en a aussi qui ne sont pas axés « spirituel » mais plutôt « développement personnel ».

Les prix varient de 10 à 40 euros en moyenne.

C’est vraiment l’outil qui m’a permis de développer mon intuition et de découvrir dans ces profondeurs, ma spiritualité. Cela m’a apporté une grande confiance en moi, en les autres et en la vie.

C’est un outil d’introspection incroyablement puissant et vraiment accessible.

Vous serez surpris de la justesse des messages des cartes. Bien sûr, il faut être dans l’intention de les recevoir.

E/ Pourquoi ces piliers sont essentiels à notre équilibre ?

  • Ils nous offrent des ressources pour les moments inconfortables.
  • Ils nous ouvrent à différentes cultures, différentes connaissances.
  • Ils nous permettent de mieux nous connaitre, de nous (re)découvrir.
  • Ils nous apportent un réel ancrage.
  • Ils nous connectent à la part de sacré, de divin qui est en nous.

F/ Conclusion

Vous avez compris, je pense, à travers ce partage, à quel point, mes 4 piliers m’ont permis de me révéler et m’apporte au quotidien, la stabilité.

Cela a complètement changé la façon dont je m’exprime mais aussi, et surtout, la façon dont je vis.

Je continue à prendre des gamelles, à chuter, à douter, à être en colère, à ruminer parfois mais je sens très rapidement que je ne suis pas dans la bonne énergie pour moi et j’ai, avec eux, tous les moyens à ma portée pour inverser la vapeur et me reconnecter à une énergie qui me réconforte et m’apaise.

Alors, à vous de chercher, découvrir, tester tout ce qui vous appelle et de vous créer vos propres piliers, ceux su qui vous pourrez compter quoi qu’il arrive.

Se pardonner à soi-même

Je vous retranscris les grandes lignes du podcast dans cet article mais si vous n’avez pas écouter le podcast, je vous invite vraiment à le faire avant car les mots ne sont pas choisis par hasard lorsque j’enregistre et sont bien plus puissants à l’écoute qu’à l’écrit.

Je vous ai parlé dans l’épisode précédent, du pardon que l’on offre à l’autre quand celui-ci nous a blessé.

Mais qu’en est-il lorsque nous avons, nous-même, blessé quelqu’un ?

Demander pardon à l’autre, c’est bien mais si nous ne nous sommes pas pardonné(e) avant, les attentes vont être importantes et la déception risque d’être grande si l’autre ne répond pas à nos attentes.

Avant d’entamer une démarche pour lui demander pardon, il est indispensable de prendre le temps de se pardonner à soi-même et je vais vous expliquer pourquoi et comment.

A/ Pourquoi est-ce indispensable de se pardonner en premier ?

Le risque, si nous ne prenons pas le temps de passer par cette étape, c’est que :

  • Nous allons nous rendre dépendant du pardon de l’autre.
  • Nous ne comprendrons pas la cause du conflit et celui-ci pourra alors se reproduire plus facilement -> colère, culpabilité, ressentiment…
  • Nous ne prendrons pas conscience de notre juste responsabilité.
  • Nous entretiendrons notre culpabilité si l’autre ne nous accorde pas son pardon.
  • Nous allons créer une forme de résistance vis-à-vis de nous même (liée à la culpabilité et la mauvaise image que l’on a de nous-même) qui va nous bloquer dans notre parcours de vie et nous couper des opportunités qui pourraient se présenter à nous.
  • Lorsque nous allons demander pardon, l’autre sentira notre attente, notre culpabilité, notre résistance (ressenti énergétique) et il peut ne pas accepter de pardonner.

B/ Pourquoi est-ce si difficile ?

Avouons-le, il est très difficile d’accepter que l’on a eu un comportement qui a nuit ou blessé l’autre. Cela résonne en nous comme une erreur de notre part, un échec.

On a souvent tendance à être plus indulgent avec l’autre qu’avec soi-même parce que reconnaitre que l’on n’a pas agi de manière adéquate, c’est

Mais l’erreur est humaine et peut être acceptable, dans certaines circonstances, bien sûr, mais à la condition qu’on ne la reproduise pas à l’infini.

C/ Mais alors, comment se pardonner à soi-même ?

Lorsque nous nous sentons coupable, que nous portons des jugements vis-à-vis de nous-même.

-> posons-nous un instant et demandons-nous quel(s) besoin(s) se cache(nt) derrière l’attitude que l’on a eu au moment du conflit

-> Noter tous nos ressentis, toutes nos émotions mais surtout nos besoins non satisfaits.

-> Si cette étape est difficile : vous pouvez utiliser vos oracles et tarots. Vous pouvez aussi vous faire accompagner par un coach ou thérapeute car il y a souvent un gros travail d’acceptation à faire à ce moment précis.

-> Ensuite, trouver des solutions pour combler ce besoin : -> soi-même dans la mesure du possible -> si l’on a absolument besoin de l’autre alors formuler une demande claire et précise -> 3 possibilités : OUI / NON / fuite de l’autre. Dans tous les cas, vous aurez moins de frustrations car vous aurez été au bout de la démarche (si NON ou fuite, on va chercher une autre solution).

D/ Conclusion

Nous ne pouvons pas éviter les conflits mais nous pouvons les gérer au mieux en cherchant, à chaque fois, à déterminer les besoins de chacun qui n’ont pas été satisfaits et qui ont mené à cette situation conflictuelle.

Se pardonner, c’est se respecter en prenant soin de nous à travers la satisfaction de nos besoins.

Se pardonner, c’est accepter que l’on est constitué de lumière et d’obscurité, de forces et de fragilités, de perfections et d’imperfections.

C’est à nous de choisir la part que l’on souhaite nourrir.

Ne pas se pardonner, c’est forcément nourrir la part obscure à travers la culpabilité, le ressentiment, la colère contre nous-même…

Dans tous les cas, se pardonner, c’est se connecter à cette part divine qui est en nous et qui est le reflet de notre lumière intérieure.

Pardonner pour se libérer

Je vous retranscris les grandes lignes du podcast dans cet article mais si vous n’avez pas écouter le podcast, je vous invite vraiment à le faire avant car les mots ne sont pas choisis par hasard lorsque j’enregistre et sont bien plus puissants à l’écoute qu’à l’écrit.

Vous trouverez, à la fin de l’article, des liens vers des témoignages de pardon car cela peut vous apporter un éclairage supplémentaire sur la force du pardon.        

A/ Pardonner ne veut pas dire…

1/Pardonner ne veut pas dire oublier. 

Mais vous allez vous souvenir de l’événement et vous n’aurez plus de ressentiment intérieur. C’est un peu comme une cicatrice dans votre chair. Quand vous touchez à une cicatrice, cela ne vous fait plus mal.

Il faut prendre son temps pour pardonner, il ne faut pas brusquer ce qui se passe en nous. Il faut prendre le temps de guérir.

2/Le pardon ne signifie pas non plus excuser la personne.

Excuser, cela veut dire que l’offenseur n’est pas responsable de ses actes. S’il vous a blessé d’une manière volontaire, il a voulu vous faire mal. Il n’est pas question de l’excuser.

3/Pardon n’est pas synonyme de réconciliation.

Le pardon, c’est un mouvement de l’âme, un mouvement du coeur. La réconciliation, c’est la manifestation extérieure du pardon, à la personne qui vous a offensé(e). Il y a des situations où vous pardonnez dans votre coeur, mais vous ne pouvez pas vous réconcilier avec votre offenseur car vous devez être prudent. La réconciliation est la suite naturelle du pardon mais ce n’est pas systématique.

4/Le pardon n’est pas une démission de ses droits.

Le pardon ne doit pas éliminer la justice.

Tant que votre pardon n’arrive pas à une sorte de paix intérieure, de paix émotive, le pardon n’est pas complet. Vous saurez que vous avez pardonné à quelqu’un quand en pensant à cette personne, vous n’éprouverez plus de ressentiment.

B/ Que risque-t’il de se passer si nous ne pardonnons pas ?

1/ La première option qui se présente, c’est la vengeance. La vengeance est quelque chose de très naturel et elle vient d’une sorte d’instinct de justice. « Tu m’as fait mal, je vais te rendre ce mal ».

Le danger de la vengeance, c’est la spirale de violence que cela engendre.

2/ Il y a des personnes qui diront « très bien, je ne me vengerai pas mais je n’oublierai pas ! » Et elles vont développer en elles une sorte de ressentiment. Ressentir, c’est sentir deux fois. Elles vont se rappeler l’offense, elles vont sentir toute l’agressivité de l’autre mais en elles.

Qu’est-ce que ça veut dire « ne pas oublier ». Si on ne pardonne pas et si on maintient en soi un ressentiment, on vit un stress continuel. Cela peut même amener à la maladie.

3/ Une autre option, si on ne pardonne pas, c’est de vivre dans le passé. On repense tout le temps, consciemment ou inconsciemment à cette blessure. « Est-ce que je vais me faire blesser une autre fois ? »

C/ Comment peut-on définir le pardon?

C’est un état intérieur auquel on accède après un travail qui peut être long, et difficile, parce qu’il nous oblige à nous remettre en cause, à assumer notre part de responsabilité, à prendre le risque d’avoir encore mal, à accepter nos limites et celles de l’autre mais il nous permet de libérer la souffrance que l’on porte et qui est liée à l’offense.
Le pardon est un dépassement de soi et véritablement un acte libérateur.

Je pardonne pour retrouver ma liberté d’aimer et mon intégrité émotionnelle qui sont mises en danger par le ressentiment et la rancœur.

« Je prends la décision d’effacer le mal que tu m’as fait. Je n’efface pas l’acte, ni ta responsabilité mais la douleur que cela a engendré en moi car cette douleur ne nuit QU’A MOI et je ne veux plus de cela. Je veux retrouver ma liberté d’aimer et mon intégrité émotionnelle. »

Pardonner est un acte :

  • Volontaire : c’est MOI qui agit et qui décide.
  • Intime : il n’y a que MOI qui choisis de la faire.
  • Libérateur : c’est grâce au pardon que je vais retrouver ma paix intérieure.

Je sais que :

  • Cela va prendre du temps.
  • Je ne dois pas forcer les choses et attendre d’être prêt(e)
  • Je prends le risque de réactiver momentanément la douleur
  • Cela va m’obliger à me remettre en cause et à sortir de ma zone de confort.
  • Je vais être confronté(e) à mes propres limites et celles de l’autre.
  • Je serais probablement amené(e) à assumer ma propre part de responsabilité.

La démarche de pardon ne va pas de soi. C’est un chemin d’ouverture à l’autre alors que, naturellement, nous avons plutôt tendance à nous replier sur nous-même ou à chercher à nous venger lorsque nous avons été blessés.

 
Une autre difficulté tient au fait que pardonner est un acte gratuit qui demande du temps, de la patience, de l’humilité car cela nous demande une profonde conversion de notre cœur, de notre regard sur l’autre et sur les événements. 

Nous devons également reconnaitre que nous-mêmes ne sommes pas parfaits et que, dans d’autres circonstances, nous pourrions très bien être en position de demander pardon d’un acte relevant de notre responsabilité ? 

Plusieurs personnes se privent de pardonner parce qu’elles ne comprennent pas la véritable nature du pardon. Pour beaucoup d’entre elles, pardonner signifie se trahir, manquer de respect à soi-même ou approuver son bourreau et personne n’a envie de cela.

Le travail de pardon est un travail de guérison du cœur et nous avons aussi besoin de notre tête pour discerner ce qui est acceptable ou pas comme l’avenir que l’on souhaite pour cette relation altérée.

C’est un véritable travail d’humilité, de lâcher-prise.

D/ Les différentes étapes du pardon

1ère étape : une décision importante

Ne plus accepter le chemin de la vengeance pour régler une situation d’injures, de blessures, de trahison. C’est une décision très importante.

L’autre élément de la première étape est très important. C’est de faire cesser l’offense sans passer par la violence. Ne dépensez pas d’énergie dans le pardon tant que la personne perpétue son offense sur vous.

2ème étape : reconnaître l’offense

Reconnaître qu’on a été blessé intérieurement. Lorsqu’on a souffert d’une injustice, d’une trahison, lorsqu’on a été insulté, lorsqu’on a été malmené, trahi, il y a une première tendance, c’est d’excuser la personne, d’oublier, de vouloir minimiser la faute ou encore de croire : l’autre m’attaque, mais c’est moi qui me sens coupable dans cette situation-là.

3ème étape : partager avec quelqu’un

Essayez d’en parler avec quelqu’un. Il est important d’extérioriser cette blessure, de ne pas garder cela au fond de soi.

L’idéal serait d’aller aussi voir la personne qui nous a offensé(e) et lui dire en face ce que l’on ressent.

4ème étape : Accepter la colère

Exprimer corporellement votre colère. Pour cela, vous pouvez taper dans des coussins, crier, pleurer, faire des exercices corporels fatigants, une séance de relaxation.

5ème étape : comprendre son offenseur

Comprendre ne veut pas dire excuser son offenseur. Si l’offenseur est responsable de ses actes, on ne peut pas l’excuser. Mais en essayant de comprendre comment il a été éduqué, quelles sont les blessures qu’il a eues dans sa vie, cela nous aide à avoir un pardon plus intelligent. On ne peut pas tout comprendre de l’offenseur, mais on peut expliquer certaines choses. Il faut essayer de comprendre ce qui l’a poussé à commettre un tel acte.

C’est une façon de comprendre que c’est un mécanisme extérieur à nous qui l’a amené(e) à agir ainsi.

6ème étape : donner un sens à sa blessure

Comprendre pourquoi on a été blessé est important. Qu’est-ce qui peut expliquer dans notre histoire personnelle que nous avons été blessé ou victime ?

7ème étape : se savoir aimé(e)

Le vrai moteur pour le pardon, c’est de se savoir aimé profondément, inconditionnellement. Si vous vous sentez aimé profondément, vous allez être capable de pardonner. Quelqu’un qui ne se sent pas aimé, est-il capable d’aimer les autres ? Si vous avez l’impression que jamais on ne vous a rien pardonné dans votre vie, allez-vous être capable de pardonner à d’autres ?

C’est pour cela qu’au départ de votre capacité de pardonner, il y a d’abord ce sentiment très profond que moi, malgré mes lacunes, mes manques, mon péché, mes difficultés, mes égoïsmes, je suis aimé(e) inconditionnellement. C’est cette conscience d’être aimé(e) inconditionnellement qui va être le moteur de votre générosité dans le pardon.

8ème étape : On n’attend rien de l’autre dans le pardon

Lorsque l’on pardonne l’autre, on ne doit pas le faire dans l’attente de quelque chose de sa part en retour. Il faut que cela soit un pardon « gratuit ». Ce n’est pas toujours évident ni pour soi, ni pour celui à qui on pardonne.

N’oubliez pas que c’est un cadeau que vous vous faites à VOUS.

9ème étape : Que faire de la relation avec la personne ?

Est-ce que je me réconcilie avec la personne ? Dans certaines situations, il est mieux qu’il n’y ait pas de réconciliation physique, si la personne n’a pas changé, si elle peut vous agresser, vous faire du mal.

Si vous vous réconciliez avec la personne, la relation ne sera plus comme avant. Lorsqu’il y a eu une blessure entre deux personnes, il doit y avoir beaucoup d’amour ou d’amitié entre eux pour que la relation résiste au conflit.

Prendre soin de cette relation signifie prendre soin de l’autre mais aussi et surtout prendre soin de soi.

F/ Conclusion

Cette démarche du pardon demande du temps et un profond travail intérieur mais il apporte bien plus que la simple faculté de pardonner. Elle nous permet de nous connecter à notre dimension divine et à éveiller l’amour inconditionnel que l’on a en nous : cet amour qui transforme notre vie.

Voici quelques liens vers des témoignages magnifiques de pardon :

N’hésitez pas à faire vos propres recherches. Je suis sûre que vous serez guidé(e)s vers ce qui sera juste pour vous au moment où vous le ferez.

Et si vous avez besoin d’être accompagné(e) dans cette démarche, Néophim et moi-même sommes là pour cheminer à vos côtés.

Avec tout notre amour !

Assumez sa différence

Aujourd’hui, nous allons parler de cette différence qui nous constitue tous de manière individuelle.

Nous la vivons au quotidien, nous l’expérimentons depuis notre naissance et pourtant, bien souvent, nous avons du mal à mettre des mots dessus et à l’assumer. Mais c’est normal, nous sommes des êtres humains et nous avons besoin de comprendre ce que nous vivons.

Et parfois, nous nous sentons tellement différents des personnes qui gravitent autour de nous que cela va impacter nos émotions, nos ressentis, nos choix de vie.

La différence n’est qu’une question de vision : on ne voit pas les choses sous le même angle tout simplement.

1/ Il est temps d’assumer mais comment ?

  • Se poser la question suivante : « Pourquoi ai-je besoin de la reconnaissance ou de l’approbation de l’autre ? »

Ce besoin de reconnaissance peut révéler cela peut révéler une blessure de rejet, d’injustice ou d’abandon.

Il faut alors se demander ce qui est le plus important pour vous : notre équilibre ou les attentes des autres.

Vous pouvez prendre le temps d’expliquer (oralement ou par écrit) avec des mots justes en parlant en JE. Ainsi vous n’impliquez pas l’autre dans votre explication et il se sentira plus libre d’accepter ou pas.

Commencez par les faits et ensuite, vous pourrez exprimer vos émotions mais en restant authentique et sans exagération. Le but n’est pas de se positionner en victime !

  • Il faut communiquer mais à bon escient. On n’est pas obligé de tout dire et ce n’est pas mentir. Tout le monde n’est pas en capacité d’accueillir ce que vous vivez. Et cela ne remet pas en cause l’amour qu’ils ont pour vous.

Et puis, c’est cool aussi d’avoir son jardin secret !

Et si vous avez vraiment besoin de parler, choisissez les personnes qui sauront vous écouter avec leur cœur et non avec leurs peurs !

  • Il y a parfois un travail d’acceptation à faire pour guérir certaines blessures. Ce travail peut se faire à l’aide d’un thérapeute mais aussi à travers des expériences de vie (même si elles sont parfois douloureuses) qui vont nous révéler à nous-mêmes mais pour cela, IL FAUT OSER !!!
  • Ne tuez pas votre égo. Attention à tout ce que l’on entend de négatif sur l’égo. Nous en avons autant besoin que de notre corps et notre âme. Il nous permet de nous imposer, de poser des limites, de ressentir de la fierté et de faire face à certaines personnes pas évidentes à affronter.
  • Parfois, on est obligé(e) d’utiliser un cadre (milieu professionnel, en particulier) mais cela ne retire rien à notre différence, à notre essence profonde, à qui l’on est. On vit dans une société qui a besoin de modèles types, de structure mais cela commence à évoluer. Toutefois, si l’on doit trouver des compromis pour faire cette transition, c’est OK.
  • Et puis, sommes-nous, nous-mêmes, réellement en capacité de comprendre toutes les différences ou du moins de les accepter ? Où en est notre niveau de tolérance personnel ?

2/ Conclusion

« La différence n’est qu’une question de vision : on ne voit pas les choses sous le même angle tout simplement ».

Il est important de comprendre que cela ne remet pas en cause qui vous êtes. On n’a juste pas toujours les mêmes lunettes mais ça ne tient qu’à cela !!!

Votre différence, c’est qui vous êtes et c’est à vous de décider ce que vous voulez en faire et comment vous voulez la vivre !

Alors acceptez-la, chérissez-la, assumez-la !

Avoir le mindset de Gandhi

Le mindset est l’état d’esprit que l’on a au quotidien. Il est déterminant pour votre motivation et votre bien-être.

Pourquoi Gandhi ?

C’est un homme très inspirant et qui incarne un modèle de vie accessible.

Il incarne la force tranquille et l’humilité.

Il n’est pas parfait et c’est quelque chose que l’on voit dans le film qui a été réalisé sur sa vie.

Il vit de profondes remises en question jusqu’à la fin de sa vie.

Mais ce qui lui permet de garder le cap, c’est sa foi inébranlable en l’homme, en la vie et en Dieu.

Il a une réelle ouverture du cœur qui lui permet d’être à l’écoute des besoins de tous. La fameuse écoute active dont je vous parle dans le podcast n°15.

C’est le père de la Communication Non Violente en Inde (inspiré par Tolstoï) et de la résistance non violente.

1/ Prenez l’habitude de passer du temps de qualité avec soi-même

  • Pas pour ressasser ou ruminer mais pour accueillir ses émotions, ses ressentis corporels (écouter ses émotions -> base de tout)
  • Se mettre à l’ « écoute active » de soi-même -> permet de faire les bons choix, de prendre les décisions justes et de voir ce qu’il reste à travailler.

2/ Cultivez la lâcher-prise et la confiance

  • Travailler sur ses peurs, ses croyances limitantes et ses blocages
  • Quand on sent des difficultés à lâcher-prise, c’est qu’il y a des peurs cachées ou que l’on tire un avantage à la situation. A travailler !
  • Faire le deuil de nos habitudes de vie qui nous bloquent en nous surprotégeant (réaction de l’Ego)
  • SOPHROLOGIE
  • MEDITATION
  • ASTROLOGIE
  • Penser sur plusieurs vies (réincarnation)
  • CONFIANCE EN SOI : entourage bienveillant, motivant, stimulant et inspirant – idem pour l’environnement – EXPERIMENTER

3/ Trouvez le juste équilibre…pour vous

  • Calmer le mental, le rassurer
  • Activer son intuition
  • Nourrir sa spiritualité
  • Ecouter les conseils = OUI mais les approuver avant de les mettre en pratique

4/ Planifiez et passez à l’action

  • Objectifs clairs et précis
  • Commencez par des petites actions (podcast n°4 se fixer les bons objectifs et n°6 : 2 outils magiques qui ont changé ma vie)

5/ Veillez à entretenir tous les points qui nourrissent votre mindset

  • Si rechute, être indulgent et bienveillant avec soi-même, LUCIDE mais INDULGENT (si l’on a négligé un point, se poser la question du « pourquoi ? »)

6/ Faites-vous accompagner

…par un coach, un thérapeute, un accompagnant spirituel :

  • Pour chaque étape ou pour toutes.
  • C’est un investissement pour l’avenir car ce mindset s’imprimera dans vos gènes et deviendra votre phare pendant toute la traversée et même plus encore.

Néophim et moi-même sommes là si vous en avez besoin, à travers différentes formules d’accompagnements personnalisables.

« LA DIFFÉRENCE ENTRE LE POSSIBLE ET L’IMPOSSIBLE SE TROUVE DANS LA DÉTERMINATION. »

La loi des 5%

C’est moi qui est inventé cette appellation à partir d’une stratégie markéting transmise par le patron d’une grande papeterie française et normande.

J’ai travaillé pour cette entreprise et un jour, ce monsieur est passé sur le stand. Il parlait avec des commerciaux et je l’ai entendu dire quelque chose qui m’a interpellé : « Je n’accorde jamais plus de 5% de mon chiffre d’affaire à mon meilleur client afin d’être sûr que si celui-ci décide de partir, mon entreprise ne sera que peu impactée ».

J’ai tout de suite compris que je pouvais l’appliquer à ma vie en général et que ça pouvait m’apporter plein de points positifs.

1/ la stratégie

L’idée serait donc de ne pas donner plus d’importance que nécessaire à chaque facette de sa vie et de diversifier les sources de bonheur et d’équilibre.

Et ce qui est très important, c’est de privilégier la qualité du temps que l’on attribue à nos diverses activités et aux personnes qui nous entourent.

Et je peux vous dire que cette stratégie, qui est au départ commerciale, est devenue une vraie philosophie de vie.

C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de ne pas sombrer et de toujours me relever (merci Néophim) en m’appuyant sur tout ce qui était encore là : mes 95%.

2/ Comment on fait et pourquoi :

Listez dans votre esprit ou dans votre cahier tout ce qui fait votre vie :

  • Vie personnelle : amour, famille, amis, centres d’intérêts, hobbys, alimentation, activités physiques…
  • Vie professionnelle : clients, partenariats, collègues, formations, si vous êtes comme moi à votre compte et que vous proposez des accompagnements, des offres, notez-le…
  •  

Ensuite, prenez le temps de voir si dans chaque secteur de votre vie, cette loi peut vous apporter quelque chose de positif et constructif et comment.

Je vais commencer par l’exemple le plus difficile mais en même temps, celui qui nous concerne pratiquement tous : notre couple.

Bien sûr, l’idée n’est pas de diversifier les partenaires (quoi que chacun est libre mais ce n’est pas l’idée que je veux proposer !!!). Ce serait plutôt de voir comment nous vivons notre relation avec notre partenaire. Cette relation est-elle basée sur la fusion ou plutôt sur beaucoup d’indépendance ? Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses si la situation convient parfaitement aux besoins des 2.

Par contre, si ce n’est pas le cas, alors il est temps de se poser et de voir, séparément puis ensemble, comment on peut amener de la diversité dans notre couple afin que celui-ci soit basé sur des découvertes faites séparément et/ou ensemble. Ces découvertes viendront nourrir notre relation et notre amour. Elles lui apporteront un souffle nouveau. Dans cette optique, la communication est bien sûr ESSENTIELLE. Il ne s’agit pas de vivre chacun sa vie sans partager ce que l’on vit et ce que cela nous apporte.

Attention : idée reçue : « cela va me demander plus de temps » = FAUX car on privilégie la qualité à la quantité. On peut multiplier les facteurs tout en accordant la qualité qu’ils méritent. Pour cela, c’est dans votre attitude que vous trouverez la solution.

Bien sûr, il y a mille façons de diversifier certains secteurs de sa vie. Cela peut amener de la dispersion. Je pense, entre autres, au côté professionnel.

Par exemple, je sais que j’ai ce besoin de diversité dans mes tâches quotidiennes. Je m’ennuie vite ou alors c’est aussi ma concentration et mon attention qui me font défaut. J’ai donc trouvé un moyen qui me permet de garder cette diversité tout en ne nuisant pas à mon efficacité : 1 tâche principale par jour ou par semaine et j’y rajoute des petites tâches plus courtes et demandant moins de concentration.

Tâche principale : 1 à 2h/ jour et 2 fois/semaine

Tâches secondaires : 10 à 20mn/jour/tâche et j’en inclus tous les jours

3/ Avantages :

  • Diversité
  • Pas de monotonie
  • Pour ceux qui aiment la routine : permet de sortir de sa zone de confort en douceur
  • Utile pour les personnes qui ont du mal à s’autonomiser -> prendre conscience qu’en s’appuyant sur la diversité, elles ne sont pas dépendantes d’un facteur comme un partenaire, la famille, une activité professionnelle…

Mais, pour moi, l’avantage le plus évident est que lorsque l’on perd quelqu’un ou quelque chose, quelle que soit la raison (facteur économique, relationnel, santé…), nous nous sentons moins démunis et nos fondations sont toujours assez solides pour la suite. Il nous reste les 95% qui vont nous permettre de rester stable.

4/ Conclusion

Et pour finir, je dirais que :

  • Cela nous permet encore plus de créer notre vie plutôt que de la subir.
  • Cette « loi des 5% » (à ne pas non plus prendre à la lettre mais à adapter à vos besoins et vos valeurs) nous apporte une autre vision de la façon dont on peut gérer sa vie en minimisant les risques et en préservant nos fondations.
  • Elle nous apporte aussi une grande liberté car nous sommes moins dépendant d’un élément ou d’une personne de notre vie.

L’idée est aussi de vous montrer que tout peut être détourné pour améliorer notre quotidien et nous permettre de trouver de nouvelles stratégies.

Les livres dont je parle dans le podcast :

  • « La tribu des mentors » de TIMOTHY FERRISS
  • « Les outils des géants » de TIMOTHY FERRISS

Et après le confinement, on fait quoi ?

J’aimerais vous dire : « Rien de spécial, on reprend notre vie, là où on l’a laissée » sauf que ce n’est pas possible. Il va y avoir une période d’instabilité avec des énergies fluctuantes, des résistances de notre part. Il va falloir faire preuve d’adaptabilité, de souplesse et de rigueur en même temps.

Puisqu’il n’y a plus de fondations à l’extérieur, il faut renforcer nos fondations intérieures.

Il va être vraiment important de se relier à son moi profond, à notre essence car c’est ce qui est le plus stable en nous.

1/ Pour commencer, quelques questions :

  • Qu’est-ce qui a été + facile pour moi pendant cette période ?
  • Qu’est-ce qui a été + difficile pour moi pendant cette période ?
  • Qu’est-ce que je veux préserver ?
  • Qu’est-ce que je veux supprimer ?
  • Qu’est-ce que je veux modifier ?
  • Quels besoins ont été satisfaits ?
  • Quels besoins n’ont pas été satisfaits ?
  • Quelles sont mes valeurs, aujourd’hui ? Ont-elles évolué à travers cette expérience ?

2/ Accepter l’inacceptable

Qu’est ce qui est inacceptable ?

Tout ce qui vient menacer profondément notre équilibre, notre vie et celle de nos proches.

Peut-être que le terme d’inacceptable ne raisonnera pas en certains d’entre vous, et j’en suis heureuse. Mais je veux pouvoir aussi m’adresser à ceux qui ont perdu un être cher, ceux qui ont n’ont plus de revenus et pas d’aides sociales, ceux qui ont été victimes de maltraitance, ceux qui ont un projet personnel ou professionnel en péril, une entreprise menacée…enfin à tous ceux pour qui ces quelques semaines auront eu l’effet d’un séisme dans leur vie.

Parfois, on arrive à percevoir qu’il y a un sens caché derrière tout cela (le fameux TOUT EST JUSTE) mais cela ne rend pas l’évènement plus facile à vivre.

On allons observer différentes réactions :

  • les résistances
  • le déni
  • la colère
  • l’abattement
  • la dépression

Tout cela correspond à une expression non verbale des émotions.

Mais que faire de ces émotions qui nous chamboulent ?

Accueillez, accueillez, accueillez.

Pleurer, écrivez, parlez, chantez, marchez, criez, tapez dans un oreiller…

Faites tout ce qui vous permettra d’extérioriser nos émotions.

Reposez-vous aussi car cette étape indispensable, demande beaucoup d’énergie.

3/ Accepter l’imperfection

Notre monde d’avant n’était pas parfait, notre vie non plus, (nous non plus d’ailleurs) et ça sera toujours ainsi parce que nous avons besoin de ces imperfections pour nous stimuler, pour nous donner l’envie d’aller au-delà et voir ce qui se cache derrière.

Le monde d’après n’est donc pas si différent dans le sens où il y aura des choses parfaites et d’autres imparfaites et, dans tous les cas, nous continuerons à avoir des moments de bonheur car c’est nous qui les créons. Ils seront peut-être juste différents et c’est bien aussi.

La période de transition peut nous paraitre inconfortable, longue, éprouvante mais elle ne durera pas. Elle est juste là pour nous laisser le temps de nous réadapter à ce qui est possible aujourd’hui. Plus nous nous adapterons vite, moins elle durera.

S’adapter = n’est pas se résigner = se recréer une vie en respectant ses propres besoins, ses propres valeurs à partir d’un environnement différent.

4/ Gérer nos peurs

(d’après un article de Serge Pastor – auteur et conférencier – proche de l’enseignement d’Eckhart Tolle et de Krishnamurti)

La peur est un moyen d’adaptation à notre environnement (permet à l’animal de réagir au danger).

Mais la peur peut aussi être le résultat d’une construction égotique : Imaginez un arbre qui a des racines plus ou moins profondes (émotions, pensées, désirs, conditionnement…), et qui donne des fruits plus ou moins abimés (colère, fuite, culpabilité, combat, violence…). Cet arbre est nourri par notre égo -> C’est donc un leurre entretenu par notre égo. Ce n’est donc pas lui qui nous permettra de nous en détacher.

Et lorsque l’on dit, dans ces circonstances : « Soit raisonnable » à une personne qui a peur, cela ne pourra pas l’aider car, justement, elle est dans la raison (raison = égo).

Son égo ne pourra mettre fin à un processus qu’il auto-génère. Ce n’est pas lui qui pourra l’en libérer car la liberté est dans le présent et l’ego est soit dans le passé, soit dans le futur.

Ce qu’il faut faire :

  • Accueillir et ne pas la rejeter, ni la fuir. Et surtout renoncer à la raisonner.
  • Ne pas, non plus, se placer en observateur externe mais plutôt à nous connecter à notre essence profonde.
  • Etre à l’écoute « active » de la peur mais attention pas avec le mental car il est réactif, passif et non actif. Il ne répond qu’aux besoins de l’égo.

L’écoute « active » = ouverture du cœur, pas de jugement, pas d’apriori.

En passant par cette écoute « active » ou « bienveillante » : la peur va nous indiquer ses racines et les émotions qu’elle fait ressurgir quand celles-ci sont réactivées.

On se concentre sur l’instant présent et tout ce qui se vit à ce moment précis.

On apporte une vision holistique sur notre peur mais bien vu de l’intérieur, et non de l’extérieur. Cette vision doit être désintéressée de tout résultat. C’est notre regard, à travers ce qui est à cet instant précis, qui sera le changement. Il n’y a rien d’autre à faire.

Dans l’écoute «active » de la peur, la peur nous traverse mais ne s’installe pas car il n’y a pas de point d’ancrage. La peur n’est qu’énergie. Laissons-la nous traverser et repartir.

Concrètement, pour moi, les meilleurs outils pour arriver à pratiquer cette écoute «active » de notre peur et avoir cette vision holistique, ce sont la sophrologie et la méditation.

« Quand la peur nous traverse sans nous habiter et que nous sommes bien ancré(e)s dans le présent, alors nous sommes joie et amour »

5/ Renforcer ses fondations individuelles et passer à l’action

  • Alimentation
  • Sommeil
  • Activités physiques
  • Ancrage, méditation, sophrologie
  • Soins énergétiques
  • Travail sur nos blessures, croyances limitantes, peurs…
  • Et osez vous lancer en passant à l’action et en faisant tout pour y arriver

6/ Conclusion

Pour conclure, je vous avoue que je suis mitigée.

J’ai envie de pouvoir ressortir sans avoir à toujours remplir cette attestation avec qui je n’étais pas très copine. Mais j’aime bien aussi cette vie où nous sommes « protégés » des contraintes administratives.

Mais je me sens prête à créer ce monde nouveau en faisant ma part, en étant indulgente et bienveillante avec moi-même et avec les autres. Ma curiosité naturelle et ma confiance me pousse à aller de l’avant.

Et aujourd’hui, ce qui est le plus important pour moi, c’est d’accompagner les personnes qui en ressentent le besoin parce que c’est normal d’avoir besoin de clarté et que c’est important de se faire aider. En plus, cela crée une énergie de solidarité, de co-création, de co-guérison.

Nous avons TOUS les ressources en nous :

  • Mais elles ne sont pas toujours toutes activées.
  • Il est plus que jamais nécessaire de partager, de transmettre afin de permettre à tous d’activer toutes nos ressources.  
  • C’est en faisant circuler ces ressources comme une énergie que nous pourrons faire de cette « crise », une étape importante dans notre évolution individuelle et collective.

L’éveil spirituel : à la portée de tous ?

On entend énormément parler d’éveil spirituel depuis quelques temps et encore plus depuis cette expérience inédite que nous vivons à travers le coronavirus

Néophim et moi-même, avons pensé que c’était le bon moment en parler et pour décomplexer cette facette de notre être que l’on a trop “conceptualisée” alors qu’il n’y a rien de plus “inné” et naturel.

Mais est-ce que l’on est vraiment obligé de s’éveiller spirituellement ?

Et qu’est ce que ça veut dire finalement “l’éveil spirituel” ?

Comment on fait ? Comment on le vit ?

1/ Qu’est-ce que ça veut dire finalement “l’éveil spirituel” ?

  • Nous sommes des êtres tridimensionnels : corps-âme-esprit. Donc nous sommes qu’on le veuille ou non, tous, des êtres spirituels.
  • Cette spiritualité que l’on a en nous, n’est pas quelque chose à aller chercher à l’extérieur mais à éveiller, à réveiller en nous.
  • Nous pouvons tous nous éveiller sans être dans certains clichés que la société nous renvoie parfois et qui peuvent ne pas nous correspondre. Sentons-nous pleinement libre dans notre façon de vivre notre spiritualité.
  • C’est une découverte ou redécouverte. Nous sommes souvent conscient de notre propre spiritualité pendant l’enfance mais, ensuite, en grandissant, bien souvent, on l’enfouit ensuite pour rentrer dans le moule.
  • Ce n’est pas une promenade de santé. On rencontre des obstacles comme dans la vie en général mais on découvre mille façons de les transcender et c’est ça qui est enthousiasmant.
  • Ce n’est pas un “concept” uniquement basé sur des acquisitions de connaissance. Il ne suffit pas de lire des livres, de faire des formations, des retraites. Il faut EXPÉRIMENTER.

On peut ensuite développer des domaines qui résonnent davantage en nous mais toujours en prenant le temps de s’approprier ces nouvelles connaissances en leur donnant notre empreinte, notre couleur.

  • Pas de pression : l’éveil peut aussi se faire à notre insu. 
  • Donc, je définirais l’éveil spirituel ainsi : renoncer à vivre dans l’illusion et embrasser la vie en réveillant cette joie divine qui sommeille en nous.
  • aparté sur la mission de vie : ce n’est pas forcément une mission liée au professionnel et ne pas se mettre la pression pour la trouver. Elle est là. Nous la vivons de notre naissance à notre mort. Et toutes les étapes, même celles qui sont inconfortables, font partie de notre mission de vie.

Je vais, maintenant, vous expliquer plus en détail, tout ce que la spiritualité m’apporte au quotidien.

Bien sûr, c’est ma perception de la spiritualité et de l’éveil spirituel. Comme toujours, je vous partage ce qui est juste pour moi. De votre côté, n’accueillez que ce qui résonne en vous.

2/  Découvrir l’abondance

C’est une porte que l’on ouvre en soi et qui révèle de vrais trésors.

Et aujourd’hui, nous vivons un vrai bouleversement en matière de richesse. 

La crise économique liée au coronavirus nous amène à reconsidérer la source de nos “richesses” et à faire la part entre nos “richesses” extérieures et nos “richesses” intérieures.

Ces « richesses intérieures » pourraient compenser la perte de « richesses extérieures » que nous allons connaitre et que nous commençons déjà à connaitre.

C’est, à mon sens, à travers notre spiritualité que nous allons pouvoir redonner du sens à notre vie mais aussi à nos activités professionnelles

3/ Faire le silence en soi

C’est la condition principale pour découvrir ce qui se cache derrière notre âme.

Il faut faire le vide pour pouvoir ensuite se sentir pleinement connecté(e) à soi-même.

C’est aussi, à cette seule condition, que vous pourrez ressentir la présence de vos guides. Grâce à cela, vous ne vous sentirez jamais seul(e)s. Et nos guides sont réellement très aidants et soutenants.

4/ S’accepter tel(le) que l’on est

Ça aussi, c’est une phrase que l’on entend souvent et ce n’est pas facile à faire. Pourtant, c’est indispensable pour se sentir aligné(e). Nous vivons dans une société basée sur le regard de l’autre et cela nous complique la tâche.

Il est vraiment utile et enrichissant de se faire accompagner pour cette étape.

Mais cela vaut vraiment le coup !

5/ Rester ancrer à la terre

Lorsque l’on parle de spiritualité, d’éveil spirituel ou de s’élever spirituellement, on a tendance à penser qu’il faut lâcher tout ce qui a un lien avec la Terre. (“il est trop terre à terre, il ferait bien de s’élever un peu”)

Mais, non, bien au contraire, cela ne peut se faire que si l’on est bien ancré(e).

Ce sont de grandes racines, bien profondes, qui vont pouvoir nous permettre de nous élever. Ces racines vont nous apporter l’équilibre dont on a besoin pour traverser les étapes difficiles mais nécessaires.

L’élément Terre vous permet de faire germer, de fructifier tout ce que vous allez lui apporter.

En étant connecté(e) à la nature, à la Terre, on accède plus facilement à son âme et on découvre une spiritualité plus riche.

6/ Tout est juste

Tout ce que vous allez découvrir va vous nourrir sur ce long chemin qu’est la vie.

Vous allez être parfois émerveillé(e), parfois apeuré(e), parfois dans l’incertitude mais dans tous les cas, soyez reconnaissants car rien n’est fait au hasard : TOUT EST TOUJOURS JUSTE (je vous raconte, dans le podcast n°17, une histoire qui m’est arrivée et qui illustre parfaitement, cette expression « tout est juste »).

7/ Chacun son rythme

Ce que vous vivez vous éveillera d’une façon ou d’une autre, alors respectons notre propre rythme et celui de l’autre.

Certains ont besoin de vivre la même expérience, plusieurs fois, pour pouvoir en tirer tous les enseignements dont ils ont besoin pour passer à la suite. Même si ce n’est pas toujours plaisant, c’est nécessaire.

8/ Notre pouvoir intérieur

Tout ce cheminement va nous révéler notre pouvoir intérieur, notre puissance.

A partir du moment où l’on est conscient de cette puissance intérieure (même si des doutes ou des peurs réapparaissent), on est alors beaucoup plus investis dans nos engagements vis-à vis de nous-même, des autres et de la vie.

9/ Conclusion

La spiritualité, c’est comme une lumière qui va éclairer notre chemin

Mais il ne faut pas la chercher à tout prix comme LA solution à tous nos problèmes. Il faut juste savoir l’accueillir et la reconnaître quand elle se manifeste dans nos vies

Et il n’y pas de but à atteindre. Juste savourer, à chaque instant, la joie qu’elle éveille en nous : la joie du divin !

La spiritualité nous permet de nous relever après chaque épreuve, d’en tirer des apprentissages et de nous centrer sur l’essentiel.

Albert Einstein a dit, un jour : “Il n’y a que 2 façons de vivre sa vie : l’une en faisant comme si rien n’était un miracle, l’autre en faisant comme si tout était un miracle

C’est cela que vous allez ressentir en vous éveillant à votre spiritualité.

Les 3 livres dont je parle dans le podcast et qui peuvent vous aider à cheminer :

  • « Petit manuel de navigation pour l’âme de la part d’un gardien de phare » de Sabrina PHILIPPE – Ed. Flammarion
  • « L’appel de l’âme – de la souffrance à l’éveil » de Virginie TANGUAY – Ed. Flammarion
  • « Le bonheur quoi qu’il arrive – Propos fulgurants d’Armelle SIX » de Robert EYMERI – Ed. Almora