Assumez sa différence

Aujourd’hui, nous allons parler de cette différence qui nous constitue tous de manière individuelle.

Nous la vivons au quotidien, nous l’expérimentons depuis notre naissance et pourtant, bien souvent, nous avons du mal à mettre des mots dessus et à l’assumer. Mais c’est normal, nous sommes des êtres humains et nous avons besoin de comprendre ce que nous vivons.

Et parfois, nous nous sentons tellement différents des personnes qui gravitent autour de nous que cela va impacter nos émotions, nos ressentis, nos choix de vie.

La différence n’est qu’une question de vision : on ne voit pas les choses sous le même angle tout simplement.

1/ Il est temps d’assumer mais comment ?

  • Se poser la question suivante : « Pourquoi ai-je besoin de la reconnaissance ou de l’approbation de l’autre ? »

Ce besoin de reconnaissance peut révéler cela peut révéler une blessure de rejet, d’injustice ou d’abandon.

Il faut alors se demander ce qui est le plus important pour vous : notre équilibre ou les attentes des autres.

Vous pouvez prendre le temps d’expliquer (oralement ou par écrit) avec des mots justes en parlant en JE. Ainsi vous n’impliquez pas l’autre dans votre explication et il se sentira plus libre d’accepter ou pas.

Commencez par les faits et ensuite, vous pourrez exprimer vos émotions mais en restant authentique et sans exagération. Le but n’est pas de se positionner en victime !

  • Il faut communiquer mais à bon escient. On n’est pas obligé de tout dire et ce n’est pas mentir. Tout le monde n’est pas en capacité d’accueillir ce que vous vivez. Et cela ne remet pas en cause l’amour qu’ils ont pour vous.

Et puis, c’est cool aussi d’avoir son jardin secret !

Et si vous avez vraiment besoin de parler, choisissez les personnes qui sauront vous écouter avec leur cœur et non avec leurs peurs !

  • Il y a parfois un travail d’acceptation à faire pour guérir certaines blessures. Ce travail peut se faire à l’aide d’un thérapeute mais aussi à travers des expériences de vie (même si elles sont parfois douloureuses) qui vont nous révéler à nous-mêmes mais pour cela, IL FAUT OSER !!!
  • Ne tuez pas votre égo. Attention à tout ce que l’on entend de négatif sur l’égo. Nous en avons autant besoin que de notre corps et notre âme. Il nous permet de nous imposer, de poser des limites, de ressentir de la fierté et de faire face à certaines personnes pas évidentes à affronter.
  • Parfois, on est obligé(e) d’utiliser un cadre (milieu professionnel, en particulier) mais cela ne retire rien à notre différence, à notre essence profonde, à qui l’on est. On vit dans une société qui a besoin de modèles types, de structure mais cela commence à évoluer. Toutefois, si l’on doit trouver des compromis pour faire cette transition, c’est OK.
  • Et puis, sommes-nous, nous-mêmes, réellement en capacité de comprendre toutes les différences ou du moins de les accepter ? Où en est notre niveau de tolérance personnel ?

2/ Conclusion

« La différence n’est qu’une question de vision : on ne voit pas les choses sous le même angle tout simplement ».

Il est important de comprendre que cela ne remet pas en cause qui vous êtes. On n’a juste pas toujours les mêmes lunettes mais ça ne tient qu’à cela !!!

Votre différence, c’est qui vous êtes et c’est à vous de décider ce que vous voulez en faire et comment vous voulez la vivre !

Alors acceptez-la, chérissez-la, assumez-la !

Avoir le mindset de Gandhi

Le mindset est l’état d’esprit que l’on a au quotidien. Il est déterminant pour votre motivation et votre bien-être.

Pourquoi Gandhi ?

C’est un homme très inspirant et qui incarne un modèle de vie accessible.

Il incarne la force tranquille et l’humilité.

Il n’est pas parfait et c’est quelque chose que l’on voit dans le film qui a été réalisé sur sa vie.

Il vit de profondes remises en question jusqu’à la fin de sa vie.

Mais ce qui lui permet de garder le cap, c’est sa foi inébranlable en l’homme, en la vie et en Dieu.

Il a une réelle ouverture du cœur qui lui permet d’être à l’écoute des besoins de tous. La fameuse écoute active dont je vous parle dans le podcast n°15.

C’est le père de la Communication Non Violente en Inde (inspiré par Tolstoï) et de la résistance non violente.

1/ Prenez l’habitude de passer du temps de qualité avec soi-même

  • Pas pour ressasser ou ruminer mais pour accueillir ses émotions, ses ressentis corporels (écouter ses émotions -> base de tout)
  • Se mettre à l’ « écoute active » de soi-même -> permet de faire les bons choix, de prendre les décisions justes et de voir ce qu’il reste à travailler.

2/ Cultivez la lâcher-prise et la confiance

  • Travailler sur ses peurs, ses croyances limitantes et ses blocages
  • Quand on sent des difficultés à lâcher-prise, c’est qu’il y a des peurs cachées ou que l’on tire un avantage à la situation. A travailler !
  • Faire le deuil de nos habitudes de vie qui nous bloquent en nous surprotégeant (réaction de l’Ego)
  • SOPHROLOGIE
  • MEDITATION
  • ASTROLOGIE
  • Penser sur plusieurs vies (réincarnation)
  • CONFIANCE EN SOI : entourage bienveillant, motivant, stimulant et inspirant – idem pour l’environnement – EXPERIMENTER

3/ Trouvez le juste équilibre…pour vous

  • Calmer le mental, le rassurer
  • Activer son intuition
  • Nourrir sa spiritualité
  • Ecouter les conseils = OUI mais les approuver avant de les mettre en pratique

4/ Planifiez et passez à l’action

  • Objectifs clairs et précis
  • Commencez par des petites actions (podcast n°4 se fixer les bons objectifs et n°6 : 2 outils magiques qui ont changé ma vie)

5/ Veillez à entretenir tous les points qui nourrissent votre mindset

  • Si rechute, être indulgent et bienveillant avec soi-même, LUCIDE mais INDULGENT (si l’on a négligé un point, se poser la question du « pourquoi ? »)

6/ Faites-vous accompagner

…par un coach, un thérapeute, un accompagnant spirituel :

  • Pour chaque étape ou pour toutes.
  • C’est un investissement pour l’avenir car ce mindset s’imprimera dans vos gènes et deviendra votre phare pendant toute la traversée et même plus encore.

Néophim et moi-même sommes là si vous en avez besoin, à travers différentes formules d’accompagnements personnalisables.

« LA DIFFÉRENCE ENTRE LE POSSIBLE ET L’IMPOSSIBLE SE TROUVE DANS LA DÉTERMINATION. »

La loi des 5%

C’est moi qui est inventé cette appellation à partir d’une stratégie markéting transmise par le patron d’une grande papeterie française et normande.

J’ai travaillé pour cette entreprise et un jour, ce monsieur est passé sur le stand. Il parlait avec des commerciaux et je l’ai entendu dire quelque chose qui m’a interpellé : « Je n’accorde jamais plus de 5% de mon chiffre d’affaire à mon meilleur client afin d’être sûr que si celui-ci décide de partir, mon entreprise ne sera que peu impactée ».

J’ai tout de suite compris que je pouvais l’appliquer à ma vie en général et que ça pouvait m’apporter plein de points positifs.

1/ la stratégie

L’idée serait donc de ne pas donner plus d’importance que nécessaire à chaque facette de sa vie et de diversifier les sources de bonheur et d’équilibre.

Et ce qui est très important, c’est de privilégier la qualité du temps que l’on attribue à nos diverses activités et aux personnes qui nous entourent.

Et je peux vous dire que cette stratégie, qui est au départ commerciale, est devenue une vraie philosophie de vie.

C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de ne pas sombrer et de toujours me relever (merci Néophim) en m’appuyant sur tout ce qui était encore là : mes 95%.

2/ Comment on fait et pourquoi :

Listez dans votre esprit ou dans votre cahier tout ce qui fait votre vie :

  • Vie personnelle : amour, famille, amis, centres d’intérêts, hobbys, alimentation, activités physiques…
  • Vie professionnelle : clients, partenariats, collègues, formations, si vous êtes comme moi à votre compte et que vous proposez des accompagnements, des offres, notez-le…
  •  

Ensuite, prenez le temps de voir si dans chaque secteur de votre vie, cette loi peut vous apporter quelque chose de positif et constructif et comment.

Je vais commencer par l’exemple le plus difficile mais en même temps, celui qui nous concerne pratiquement tous : notre couple.

Bien sûr, l’idée n’est pas de diversifier les partenaires (quoi que chacun est libre mais ce n’est pas l’idée que je veux proposer !!!). Ce serait plutôt de voir comment nous vivons notre relation avec notre partenaire. Cette relation est-elle basée sur la fusion ou plutôt sur beaucoup d’indépendance ? Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses si la situation convient parfaitement aux besoins des 2.

Par contre, si ce n’est pas le cas, alors il est temps de se poser et de voir, séparément puis ensemble, comment on peut amener de la diversité dans notre couple afin que celui-ci soit basé sur des découvertes faites séparément et/ou ensemble. Ces découvertes viendront nourrir notre relation et notre amour. Elles lui apporteront un souffle nouveau. Dans cette optique, la communication est bien sûr ESSENTIELLE. Il ne s’agit pas de vivre chacun sa vie sans partager ce que l’on vit et ce que cela nous apporte.

Attention : idée reçue : « cela va me demander plus de temps » = FAUX car on privilégie la qualité à la quantité. On peut multiplier les facteurs tout en accordant la qualité qu’ils méritent. Pour cela, c’est dans votre attitude que vous trouverez la solution.

Bien sûr, il y a mille façons de diversifier certains secteurs de sa vie. Cela peut amener de la dispersion. Je pense, entre autres, au côté professionnel.

Par exemple, je sais que j’ai ce besoin de diversité dans mes tâches quotidiennes. Je m’ennuie vite ou alors c’est aussi ma concentration et mon attention qui me font défaut. J’ai donc trouvé un moyen qui me permet de garder cette diversité tout en ne nuisant pas à mon efficacité : 1 tâche principale par jour ou par semaine et j’y rajoute des petites tâches plus courtes et demandant moins de concentration.

Tâche principale : 1 à 2h/ jour et 2 fois/semaine

Tâches secondaires : 10 à 20mn/jour/tâche et j’en inclus tous les jours

3/ Avantages :

  • Diversité
  • Pas de monotonie
  • Pour ceux qui aiment la routine : permet de sortir de sa zone de confort en douceur
  • Utile pour les personnes qui ont du mal à s’autonomiser -> prendre conscience qu’en s’appuyant sur la diversité, elles ne sont pas dépendantes d’un facteur comme un partenaire, la famille, une activité professionnelle…

Mais, pour moi, l’avantage le plus évident est que lorsque l’on perd quelqu’un ou quelque chose, quelle que soit la raison (facteur économique, relationnel, santé…), nous nous sentons moins démunis et nos fondations sont toujours assez solides pour la suite. Il nous reste les 95% qui vont nous permettre de rester stable.

4/ Conclusion

Et pour finir, je dirais que :

  • Cela nous permet encore plus de créer notre vie plutôt que de la subir.
  • Cette « loi des 5% » (à ne pas non plus prendre à la lettre mais à adapter à vos besoins et vos valeurs) nous apporte une autre vision de la façon dont on peut gérer sa vie en minimisant les risques et en préservant nos fondations.
  • Elle nous apporte aussi une grande liberté car nous sommes moins dépendant d’un élément ou d’une personne de notre vie.

L’idée est aussi de vous montrer que tout peut être détourné pour améliorer notre quotidien et nous permettre de trouver de nouvelles stratégies.

Les livres dont je parle dans le podcast :

  • « La tribu des mentors » de TIMOTHY FERRISS
  • « Les outils des géants » de TIMOTHY FERRISS

Et après le confinement, on fait quoi ?

J’aimerais vous dire : « Rien de spécial, on reprend notre vie, là où on l’a laissée » sauf que ce n’est pas possible. Il va y avoir une période d’instabilité avec des énergies fluctuantes, des résistances de notre part. Il va falloir faire preuve d’adaptabilité, de souplesse et de rigueur en même temps.

Puisqu’il n’y a plus de fondations à l’extérieur, il faut renforcer nos fondations intérieures.

Il va être vraiment important de se relier à son moi profond, à notre essence car c’est ce qui est le plus stable en nous.

1/ Pour commencer, quelques questions :

  • Qu’est-ce qui a été + facile pour moi pendant cette période ?
  • Qu’est-ce qui a été + difficile pour moi pendant cette période ?
  • Qu’est-ce que je veux préserver ?
  • Qu’est-ce que je veux supprimer ?
  • Qu’est-ce que je veux modifier ?
  • Quels besoins ont été satisfaits ?
  • Quels besoins n’ont pas été satisfaits ?
  • Quelles sont mes valeurs, aujourd’hui ? Ont-elles évolué à travers cette expérience ?

2/ Accepter l’inacceptable

Qu’est ce qui est inacceptable ?

Tout ce qui vient menacer profondément notre équilibre, notre vie et celle de nos proches.

Peut-être que le terme d’inacceptable ne raisonnera pas en certains d’entre vous, et j’en suis heureuse. Mais je veux pouvoir aussi m’adresser à ceux qui ont perdu un être cher, ceux qui ont n’ont plus de revenus et pas d’aides sociales, ceux qui ont été victimes de maltraitance, ceux qui ont un projet personnel ou professionnel en péril, une entreprise menacée…enfin à tous ceux pour qui ces quelques semaines auront eu l’effet d’un séisme dans leur vie.

Parfois, on arrive à percevoir qu’il y a un sens caché derrière tout cela (le fameux TOUT EST JUSTE) mais cela ne rend pas l’évènement plus facile à vivre.

On allons observer différentes réactions :

  • les résistances
  • le déni
  • la colère
  • l’abattement
  • la dépression

Tout cela correspond à une expression non verbale des émotions.

Mais que faire de ces émotions qui nous chamboulent ?

Accueillez, accueillez, accueillez.

Pleurer, écrivez, parlez, chantez, marchez, criez, tapez dans un oreiller…

Faites tout ce qui vous permettra d’extérioriser nos émotions.

Reposez-vous aussi car cette étape indispensable, demande beaucoup d’énergie.

3/ Accepter l’imperfection

Notre monde d’avant n’était pas parfait, notre vie non plus, (nous non plus d’ailleurs) et ça sera toujours ainsi parce que nous avons besoin de ces imperfections pour nous stimuler, pour nous donner l’envie d’aller au-delà et voir ce qui se cache derrière.

Le monde d’après n’est donc pas si différent dans le sens où il y aura des choses parfaites et d’autres imparfaites et, dans tous les cas, nous continuerons à avoir des moments de bonheur car c’est nous qui les créons. Ils seront peut-être juste différents et c’est bien aussi.

La période de transition peut nous paraitre inconfortable, longue, éprouvante mais elle ne durera pas. Elle est juste là pour nous laisser le temps de nous réadapter à ce qui est possible aujourd’hui. Plus nous nous adapterons vite, moins elle durera.

S’adapter = n’est pas se résigner = se recréer une vie en respectant ses propres besoins, ses propres valeurs à partir d’un environnement différent.

4/ Gérer nos peurs

(d’après un article de Serge Pastor – auteur et conférencier – proche de l’enseignement d’Eckhart Tolle et de Krishnamurti)

La peur est un moyen d’adaptation à notre environnement (permet à l’animal de réagir au danger).

Mais la peur peut aussi être le résultat d’une construction égotique : Imaginez un arbre qui a des racines plus ou moins profondes (émotions, pensées, désirs, conditionnement…), et qui donne des fruits plus ou moins abimés (colère, fuite, culpabilité, combat, violence…). Cet arbre est nourri par notre égo -> C’est donc un leurre entretenu par notre égo. Ce n’est donc pas lui qui nous permettra de nous en détacher.

Et lorsque l’on dit, dans ces circonstances : « Soit raisonnable » à une personne qui a peur, cela ne pourra pas l’aider car, justement, elle est dans la raison (raison = égo).

Son égo ne pourra mettre fin à un processus qu’il auto-génère. Ce n’est pas lui qui pourra l’en libérer car la liberté est dans le présent et l’ego est soit dans le passé, soit dans le futur.

Ce qu’il faut faire :

  • Accueillir et ne pas la rejeter, ni la fuir. Et surtout renoncer à la raisonner.
  • Ne pas, non plus, se placer en observateur externe mais plutôt à nous connecter à notre essence profonde.
  • Etre à l’écoute « active » de la peur mais attention pas avec le mental car il est réactif, passif et non actif. Il ne répond qu’aux besoins de l’égo.

L’écoute « active » = ouverture du cœur, pas de jugement, pas d’apriori.

En passant par cette écoute « active » ou « bienveillante » : la peur va nous indiquer ses racines et les émotions qu’elle fait ressurgir quand celles-ci sont réactivées.

On se concentre sur l’instant présent et tout ce qui se vit à ce moment précis.

On apporte une vision holistique sur notre peur mais bien vu de l’intérieur, et non de l’extérieur. Cette vision doit être désintéressée de tout résultat. C’est notre regard, à travers ce qui est à cet instant précis, qui sera le changement. Il n’y a rien d’autre à faire.

Dans l’écoute «active » de la peur, la peur nous traverse mais ne s’installe pas car il n’y a pas de point d’ancrage. La peur n’est qu’énergie. Laissons-la nous traverser et repartir.

Concrètement, pour moi, les meilleurs outils pour arriver à pratiquer cette écoute «active » de notre peur et avoir cette vision holistique, ce sont la sophrologie et la méditation.

« Quand la peur nous traverse sans nous habiter et que nous sommes bien ancré(e)s dans le présent, alors nous sommes joie et amour »

5/ Renforcer ses fondations individuelles et passer à l’action

  • Alimentation
  • Sommeil
  • Activités physiques
  • Ancrage, méditation, sophrologie
  • Soins énergétiques
  • Travail sur nos blessures, croyances limitantes, peurs…
  • Et osez vous lancer en passant à l’action et en faisant tout pour y arriver

6/ Conclusion

Pour conclure, je vous avoue que je suis mitigée.

J’ai envie de pouvoir ressortir sans avoir à toujours remplir cette attestation avec qui je n’étais pas très copine. Mais j’aime bien aussi cette vie où nous sommes « protégés » des contraintes administratives.

Mais je me sens prête à créer ce monde nouveau en faisant ma part, en étant indulgente et bienveillante avec moi-même et avec les autres. Ma curiosité naturelle et ma confiance me pousse à aller de l’avant.

Et aujourd’hui, ce qui est le plus important pour moi, c’est d’accompagner les personnes qui en ressentent le besoin parce que c’est normal d’avoir besoin de clarté et que c’est important de se faire aider. En plus, cela crée une énergie de solidarité, de co-création, de co-guérison.

Nous avons TOUS les ressources en nous :

  • Mais elles ne sont pas toujours toutes activées.
  • Il est plus que jamais nécessaire de partager, de transmettre afin de permettre à tous d’activer toutes nos ressources.  
  • C’est en faisant circuler ces ressources comme une énergie que nous pourrons faire de cette « crise », une étape importante dans notre évolution individuelle et collective.