Mon corps, ce héros

A l’heure où l’on parle beaucoup d’écologie, pourquoi négligeons-nous autant notre corps ?

Nous sommes choqués de voir des actes de violence et de non-respect vis-à-vis de la nature, des animaux et de la planète en général.

Toute démarche écologique doit commencer par soi-même et par prendre soin de son corps comme d’une ressource limitée qu’il faut préserver et chérir.

A/ L’intelligence de notre corps

L’intelligence de notre corps et sa complexité ne sont plus à démontrer

C’est la structure la plus complexe qui existe à ce jour et c’est normal car elle est à l’image de l’univers.

Ce n’est pas une simple machine :

  • Elle se régénère continuellement
  • Elle s’adapte selon son environnement
  • Elle compense les déséquilibres autant qu’elle peut

C’est notre meilleur GPS avec notre âme.

Ecouter son corps est aussi important que d’écouter son âme.

B/ Le lien corps-âme-esprit

Nous sommes des âmes qui vivons une expérience terrestre et non des êtres humains qui vivent une expérience spirituelle.

Le mental doit être au service de l’âme et du corps et non l’inverse.

Ce lien est vital mais il doit être constamment le plus équilibré possible.

Lorsque nous somme très exigeant avec ce corps qui ne correspond pas toujours à nos attentes, c’est que le mental a pris les commandes.

Exemples de diktats de la société en matière d’image corporelle :

  • Performances physiques
  • Image du corps idéal

Mais qu’est-ce réellement qu’un corps idéal ???

Pour moi, aujourd’hui, c’est celle d’un corps qui est en harmonie et en lien avec mon âme et mon esprit mais pas avec mon apparence physique.

C/ Comment prendre soin de notre corps

1/alimentation

  • Alimentation vivante
  • Limiter viande et sucres rapides car risque d’acidité
  • jeûne intermittent (14h sans manger : par exemple : 20h – 12h le lendemain)

2/sommeil

  • Coucher avant minuit
  • Cahier pour se vider la tête
  • Lectures feel good
  • Méditation courte ou bruits qui vous apaisent

3/activités physiques

  • Mieux vaut régulières qu’intenses
  • Commencer à plusieurs si besoin et sur des durées courtes (on ne vise pas la performance athlétique)

4/soins corporels indispensables

  • S’hydrater en buvant +++
  • Hydrater son visage, son corps et SES PIEDS
  • S’accorder un jour dans la semaine où l’on prend un peu + de temps pour ses soins
  • Soins des pieds tous les soirs en été

5/soins bonus

  • Massages
  • Soins esthétiques
  • Soins énergétiques
  • Ostéopathie

D/ Et quand nous tombons malades ?

Nous créons nos propres maladies, y compris les plus graves.

Mais attention, il n’y a aucune culpabillité à avoir. C’est souvent quelque chose que nous comprenons lorsque cela arrive. Nous avons « besoin » de vivre cette expérience pour découvrir que le processus de la maladie est lié à notre histoire personnelle.

Et je dirais même que c’est une vision qui redonne espoir. Cela veut dire que nous sommes aux commandes de notre vie et que nous pouvons retrouver une bonne santé.

Mais pour cela, il va falloir entrer en communication avec notre corps.

D’ailleurs, les maladies les + graves sont souvent précédées de maladies ou symptômes plus bénins qui sont des signes annonciateurs qu’il y a un déséquilibre et qu’il est temps de se poser pour comprendre les messages que notre âme nous envoie à travers notre corps.

Parfois, nous ne les sentons pas mais c’est parce que nous avons une hygiène de vie qui ne laisse aucune place à l’écoute de soi, de son soi intérieur et profond.

1/ attitude responsable

La maladie n’est pas une fatalité.

Si je me suis permise de dire que nous créons nos propres maladies, ce n’est pas par provocation. Et d’ailleurs, je ne suis pas la seule à le dire, bien au contraire. Il y a de plus en plus d’études scientifiques qui démontrent que la maladie est induite par de multiples facteurs émotionnels, physiques et énergétiques et que nous avons le pouvoir de modifier cet état.

Mais cela passe par l’étape de responsabilisation.

Non, nous ne sommes pas victime de telle ou telle maladie. Elle est l’expression d’un déséquilibre en nous.

2/ attitude active

C’est cette attitude active qui va vous conduire à la guérison.

Ce n’est pas facile et demande de l’énergie, de l’humilité et du courage.

On pense souvent que les accidents, les maladies, le handicap sont des limitateurs mais si le corps nous limite, c’est en accord avec notre âme qui a besoin que nous comprenions certaines choses.

Il va donc falloir partir à la découverte de ces messages que notre corps-âme-esprit nous envoie.

Parallèlement à cela, il faudra accepter certains traitements allopathiques. Mais de la même façon, avoir une attitude active dans son traitement est très important.

Et puis, créer de l’espace autour de la maladie et de la souffrance pour y mettre plein de petites choses qui vont vous faire du bien, pour y mettre de la joie.

Vous allez créer, ainsi, la capacité à être intime avec cette expérience de la maladie mais sans vous laisser emporter par elle.

Pour conclure sur la maladie, je voudrais préciser une chose importante :

Mon corps est malade mais je ne suis pas cette maladie. La maladie est seulement un moyen d’expression, de communication de mon âme à travers mon corps.

D/ Conclusion

Et pour tout ceux, bien-portants ou malades, qui ont tendance à exiger beaucoup de leur corps ou qui sont fâchés après lui car il ne répond pas à nos exigences ou besoins, j’ai envie de vous offrir une citation de Martin Aylward (méditant chevronné) : « Aujourd’hui, c’est la journée la plus jeune de votre vie, alors incarnez-vous dans cette vérité et vivez-la pleinement »

2 outils magiques qui ont changé ma vie

Alors, ça y est, vous avez fait votre travail d’introspection et vous vous êtes fixé vos objectifs (actions) à réaliser.

Vous êtes très impatients de démarrer et plein de motivation.

Nous allons commencer à mettre en place des actions concrètes pour matérialiser ce changement dont on parle depuis si longtemps, qui nous fait rêver et nous stresse un peu aussi, soyons honnête !!!

Et, aujourd’hui, je vais vous parler des 2 outils magiques qui m’ont vraiment permis de concrétiser mon changement de vie et optimiser mon potentiel.

1/ Ma routine « bien-être » :

a/Qu’est-ce que j’appelle une routine « bien-être » ?

Même si je n’aime pas trop le mot « routine », je dois avouer que les rituels, le matin et le soir, ont de vraies vertus équilibrantes et structurantes. Et si je commence par vous parler de ça, c’est parce que c’est vraiment un moyen simple et efficace pour vous permettre de vous donner les meilleures chances pour réussir votre projet et vous sentir motivé(e) jusqu’au bout.

Mes rituels sont très simples et peu nombreux. C’est la condition nécessaire si je veux qu’ils durent dans le temps.

Il faut que cela soit vos propres rituels. Vous pouvez vous inspirer d’autres personnes mais pensez toujours à vous demander si cela répond à vos envies et besoins. Ils doivent vous ressourcer et vous apporter tous les bienfaits que l’on peut espérer : réconfort, évacuation du stress, mise en forme et en confiance.

Le mieux est de commencer par des plages horaires de 30mn le matin et le soir. Vous pourrez toujours ajouter des activités en plus avec le temps mais ne partez pas avec quelque chose de trop long dès le début. 30mn, cela vous permet d’avancer votre réveil un peu mais pas trop si vous voulez faire rentrer ce moment POUR VOUS dans votre emploi du temps quotidien.

b/ La méthode « Miracle Morning »

Vous avez très certainement entendu parler du livre « Miracle Morning » de Hal Elrod.

Il propose un acronyme pour retenir les différentes étapes ou propositions : « S.A.V.E.R.S » :

  • S comme silence : méditation, prière, exercices de respiration
  • A comme affirmations : écrire ses affirmations positives dans votre cahier, tous les jours.
  • V comme visualisation : visualiser ses objectifs et la satisfaction, la fierté que l’on ressent alors.
  • E comme exercice physique
  • R comme (reading) lire
  • S comme (scribing) écrire 

Cette méthode peut être une très bonne base tant que vous l’adaptez à vous –même car, en aucun cas, il ne faut que cela aille à l’encontre de vos besoins.

c/ Mon carnet de la lune

C’est le nom que j’ai donné à mon carnet qui reste au pied de mon lit et que je remplis matin et soir.

Dans mon « cahier de la lune », j’écris chaque matin :
➡ La date avec la phase de la lune
➡ Mes émotions du matin
➡ « j’ai besoin de… » en lien avec mes émotions du matin (peut-être le plus important car on néglige tellement ses propres besoins)
➡ Mon ou mes mantras

Et chaque soir :

➡ Mon ou mes émotions du soir
➡ Mes petits et grands bonheurs du jour

➡ Mes points de gratitude (ceux que je veux remercier pour cette journée et ce que je veux honorer)

C’est mon petit rituel à moi, avec la méditation, les étirements et la lecture.

Pour la méditation, je teste actuellement l’application 7mind de Jonathan Lehmann qui propose des méditations guidées de 7mn environ. C’est très bien pour démarrer ou s’y remettre après une interruption. Mais les méditations guidées de Christophe André (You Tube ou en CD) restent, pour moi, le must !

Vous voyez, rien de compliqué mais je peux vous dire que, depuis que je fais cela, j’ai réussi à franchir de nombreuses étapes avec beaucoup plus de fluidité et de sérénité.

Vous pouvez aussi ne l’utiliser que la semaine et faire une pause le week-end.

Je vous ai donné un aperçu de  ce qui était possible pour vous créer une routine « bien-être » mais si vous cherchez sur internet ou dans des livres de développement personnel, vous trouverez certainement plein d’autres bonnes idées.

Et posez-vous toujours ces 2 questions :

  • Est-ce que cela est bon pour moi ?
  • Est-ce que je peux m’y tenir à long terme ?

Vous verrez que vous deviendrez vite « accro » à votre routine car vous en sentirez les bienfaits assez rapidement.

2/ ma planification :

Dans la mesure du possible, allez-y progressivement, même si c’est un changement radical de vie.

Investissez dans un agenda papier ou sous un autre format (J’ai testé des agendas numériques mais je reste une grande adepte de l’agenda papier). Si vous trouvez également des blocs « semainier », ils seront un excellent complément. Vous pouvez les trouver dans le commerce ou les créer vous-même.

a/ La matrice d’Eisenhower

Je vais donc vous présenter la matrice d’Eisenhower dont je ne pourrais plus me passer aujourd’hui. Elle a vraiment révolutionné ma façon de m’organiser au quotidien.

Elle m’a permis de concrétiser efficacement mon changement de vie et m’a accompagnée pendant toute cette période de transition.

Cette matrice a été inspirée par une citation du Général Eisenhower, 34ème président des Etats-Unis d’Amérique qui aurait dit : « Ce qui est urgent est rarement important et ce qui est important est rarement urgent ».

Elle nous permet de prioriser nos tâches.

Eisenhower.png
  • Je positionne dans la case « tâches urgentes et importantes », les actions que je vais programmer dans la journée à venir (au plus tard dans les 2-3 jours).
  • Ensuite, vient la case des « tâches urgentes et pas importantes » que je planifie dans la semaine.
  • Dans la case « tâches urgentes mais pas importantes », je mets toutes les actions à planifier dans la semaine mais que je peux déléguer. Cette matrice m’a appris, ENFIN, que l’on pouvait déléguer et que c’était même indispensable pour se ménager afin d’aller loin, très loin dans le processus de changement de vie.
  • J’ai légèrement modifié la dernière case « tâches non urgentes et non importantes » car je trouve que la proposition d’annuler les actions qui sont planifiées dans cette case n’est pas toujours judicieuse. La plupart du temps, ce sont des tâches que je programme à plus long terme (dans le mois qui suit ou encore plus loin dans le temps). Parfois, effectivement, je les annule mais pas systématiquement.

b/ Comment s’en servir ?

Une fois, tous vos objectifs secondaires ou actions listés :

  • Choisir un gros objectif avec des étapes contraignantes et un plus « light » avec des étapes stimulantes et motivantes.
  • Détailler chacun de vos objectifs en petites actions de 10 à 30mn (fractionner le plus possible car il est beaucoup plus facile, motivant et gratifiant de planifier et réaliser une multitude de petites actions successives plutôt qu’une grosse qui va nous inciter à procrastiner)
  • Positionner chacune de vos « petites » actions dans les 4 cases de la matrice d’Eisenhower.
  • Ensuite, prenez votre agenda ou semainier et planifiez les tâches des cases 1 (tâches urgentes et importantes) et 2 (tâches non urgentes mais importantes)
  • Pour la case 3 (tâches urgentes mais pas importantes), mettez le nom de la personne à qui vous déléguez chaque tâche et prévoyez de les informer
  • Pour la case 4 (tâches pas urgentes et pas importantes) : soit vous gardez cette liste et la consulter régulièrement pour vérifier si les tâches sont toujours nécessaires ou bien, vous les programmez dans les semaines à venir (Si au bout de 3 mois, la tâche n’a pas été réalisée, alors supprimez-la. Cela veut dire qu’elle n’est pas utile ou que vous êtes champion(ne) du monde de la procrastination !!!)

Voilà, vous avez votre programme de la semaine.

Ne chargez pas trop vos journées car les imprévus sont souvent au rendez-vous.

En ce qui me concerne, je réévalue les tâches chaque semaine en repartant de mon ancienne matrice d’Eisenhower et j’en refais une nouvelle.

Vous pouvez aussi la créer sur un tableau Veleda et la remettre à jour chaque semaine.

Vous connaissez maintenant 2 actions magiques pour enclencher votre processus de changement de vie.

Je vous en présenterai d’autres, dans les épisodes suivants, mais vous verrez qu’en utilisant déjà ceux-ci, le changement va commencer à s’opérer avec une fluidité qui vous enthousiasmera.

Et n’oubliez pas de prendre soin de vous car vous êtes la meilleure personne pour le faire. Prévoyez-vous 1 ou 2 moments plaisir dans la journée ainsi que des pauses régulières.

Et, très important aussi, la récompense de fin de semaine : une sortie, un ciné, un repas au resto, un peu de shopping.

Alors, prêt(e) à passer à l’action ?

Pourquoi j’ai décidé de ne plus protester sur les réseaux sociaux

Pas vraiment un thème lié aux fêtes, à première vue, et pourtant…vous allez comprendre.

Au début, un peu comme beaucoup d’entre nous, je poussais, de-ci, de-là, des « petits » coups de gueule en story ou sur mes publications. Et puis, depuis quelques temps, j’ai décidé d’arrêter.

Non pas que je sois dans le déni des problèmes que la société, et nous, à plus petite échelle, rencontrons. Je ne remets pas en cause toutes les profondes transformations qui ont lieu et que beaucoup soutiennent ou pas. Je suis tout à fait consciente que les choses doivent évoluer et que cela ne se fait pas toujours dans notre intérêt personnel.

Cette période de l’avent 2019 a été très marquée par les grèves des transports et donc, toutes les conséquences qui en ont découlées, plus particulièrement pour les parisiens. J’ai vu et entendu beaucoup de protestations de toutes parts et je les comprends pleinement. Chacun, je pense, à son niveau, a des raisons valables de ne pas être satisfait(e) d’une situation qu’il (ou elle) n’a pas choisie. Moi-même, je ne suis pas en accord avec tout ce qui se passe et la façon dont cela se passe. Ce qui est normal. Tout individu a son propre point de vue lié à ses expériences et à ce qu’il porte en lui (peurs, croyances, blocages, blessures intérieures…).

Mais, la Tunisie m’a appris à voir les choses différemment. Depuis que je vis là-bas, j’ai pris conscience que mon point de vue n’était pas forcément le plus juste pour les autres. Il peut être fondé sur de nobles valeurs, ce n’est pas pour autant qu’il va résonner chez mon frère de cœur tunisien (sa vie est si différente de la mienne). Ayant été accueillie avec tellement d’amour, je me dois de redistribuer cet amour. Alors lorsque je vois quelque chose qui me dérange, je réfléchis à la façon de les SENSIBILISER AVEC LE PLUS D’AMOUR POSSIBLE.

En Tunisie, un des problèmes majeurs est la quantité importante de déchets dans la rue, sur la plage et dans la nature. Ils n’ont aucun système efficace de traitement et recyclage des déchets et ils n’ont pas été sensibilisés aux conséquences que les déchets peuvent avoir sur la nature et sur l’homme.

Je me souviens d’une story que j’avais faite, un jour, sur ma chère plage d’Hammamet, jonchée de détritus en tout genre. J’étais vraiment en colère. Sur le fond, j’avais raison mais sur la forme, je me trompais complètement. Et les seules réactions que j’ai eues étaient celles d’européens qui me disaient que j’avais raison. J’en ai conclu qu’à part flatter mon égo et déverser ma mauvaise humeur (pourtant compréhensible) sur les autres (et donc, mon énergie négative sur des personnes qui n’avaient rien demandées), je n’avais rien apporté de positif à la situation.

Bien sûr, qu’il va falloir, à un moment donné, être très ferme pour obtenir un réel changement de mentalité du style : « je ne jette plus mes détritus par terre ». Mais ce ne sont pas mes coups de gueule qui vont permettre cela. Bien au contraire.

Alors, depuis quelques temps, je prends régulièrement des sacs et ramasse, moi-même, les déchets qui sont sur la plage, devant les personnes qui passent près de moi. Et je leur souris. En plus, il y a un lycée juste en face et les élèves sont sur la plage à chaque récréation. Je pense que faire ce geste devant ces jeunes, avec le sourire, est un véritable acte d’éducation et d’amour.

Dernièrement, on m’a invitée à faire un pique-nique dans la campagne. J’ai dit « OK, avec plaisir. Je m’occupe des salades et je prends des sacs pour les déchets ». Je sais que les personnes que je côtoie, essayent de faire attention mais en agissant ainsi, je leur montre à quel point, c’est important pour moi, pour nous et pour la nature (car ils savent à quel point, je l’aime).

Lorsque je suis en France, je ressens un climat assez constant de grogne et de revendications en tout genre. C’est assez français, reconnaissons-le. Et, lorsque je me joins à ce mouvement en protestant moi-même, sur les réseaux sociaux et autres, je ressens une énergie vraiment basse, qui me nuit plus qu’autre chose et nuit aussi aux gens qui me lisent. Et, à ce moment précis, je ne me sens plus en accord avec ma valeur essentielle qui est l’AMOUR.

Alors, depuis quelques temps, et à travers mon expérience tunisienne, je cherche des moyens pour participer à l’évolution de la société TOUT EN DONNANT LE PLUS D’AMOUR POSSIBLE. Il y a plein de façons concrètes de le faire, à commencer par apporter de la JOIE, de l’ESPOIR, de la CHALEUR et du RECONFORT autour de nous, et plus particulièrement sur les réseaux sociaux !

Connaissez-vous la légende du colibri ?

 » Un jour, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! « 
Et le colibri lui répondit :« Je le sais, mais je fais ma part. »

Cette légende amérindienne, racontée par Pierre Rabhi, me parle à plusieurs niveaux :

Déjà, elle montre que chacun d’entre nous avons la capacité d’apporter notre part pour améliorer notre environnement et que toutes ses « petites » actions cumulées peuvent être le changement que l’on espère tous et cela ne relève pas de l’utopie, non, non !!! …juste de la volonté de chacun d’entre nous, comme le petit colibri !!!

Un jour, elle m’a également racontée autre chose. Je « peinais » de plus en plus à assurer mon « job » de maman, d’épouse, de fille, de sœur, de tata…Bref, j’avais le sentiment de ne pas être à la hauteur et j’en éprouvais une grande frustration.

J’ai alors repensé au petit colibri. Je me suis mise à sa hauteur et me suis dit : « Certes, je ne suis pas toujours capable de faire autant que le toucan mais tant que je suis capable de faire autant que le petit colibri, alors je suis comblée. C’est vraiment chouette, finalement, d’être un petit colibri…tout aussi chouette que d’être un toucan ! Souvent même plus chouette car on sait que tout est possible, qu’il suffit de se donner les moyens d’agir. Et que chacune de nos actions, aussi petites soit-elles aux yeux des autres, doivent toujours nous procurer de la joie et de la fierté.